Day Trading Mastery Course Information

mercredi 29 juillet 2009

Broker Forex suisse(présentation acm)

ACM

ACM est une entreprise Suisse, leader mondial du trading en ligne de devises et de métaux précieux. Fondée en 2002, et récompensée depuis par de nombreuses distinctions, l’entreprise genevoise place l’innovation et la sécurité au cœur de sa stratégie de développement.


Le succès des plateformes de trading d’ACM se fonde sur une exécution ultra-performante, une technologie de pointe, ainsi que sur des conditions de trading extrêmement concurrentielles.


Avec ACM, les clients peuvent en toute sécurité faire l’expérience d’une méthode d’exécution particulièrement compétitive et parfaitement contrôler leurs stratégies de risk management. Les 4 plateformes de trading d’ACM sont fiables, hautement sécurisées et sont conçues pour faciliter un confort d’utilisation élevé.

EN SAVOIR PLUS SUR ACM

  • ACM a été le premier broker à obtenir les certifications ISO 9001 et ISO 27001, qui attestent du respect de normes internationales relatives à la gestion de la qualité et à la sécurité de l’information.

PLUS D'INFORMATIONS SUR ACM

  • Le broker genevois accorde une place essentielle au service, et fournit à ses clients un service de formation et de support, totalement personnalisés et gratuits.

  • ACM a son siège social à Genève, et couvre les 4 continents avec ses bureaux de Zürich, New York, Dubaï et Montevideo.

Credit Suisse livre ses prévisions avant les trimestriels

Credit Suisse a confirmé mercredi son opinion "Surperformance" et son objectif de cours de 3 euros sur Alcatel-Lucent à la veille de la publication des résultats du deuxième trimestre 2009 de l'équipementier télécoms.

Selon le broker, le chiffre d'affaires d'Alcatel-Lucent a reculé de 9% par rapport au deuxième trimestre 2008, pour s'établir à 3,72 milliards d'euros, un niveau toutefois supérieur de 3% à celui du premier trimestre 2009. Credit Suisse attend une marge brute de 31,4%, en repli de 10 points de base par rapport au premier trimestre 2009 également.

Le courtier estime par ailleurs que le groupe a réduit sa consommation de cash à 327 millions d'euros au deuxième trimestre, contre 365 millions d'euros au trimestre précédent. Grâce aux cessions des participations dans Thales et Alcatel Alenia, Credit Suisse calcule que la position de trésorerie devrait être positive, d'un montant de 512 millions d'euros fin juin, contre un endettement net de 841 millions d'euros fin mars.

Pour Credit Suisse, la clé de cette publication sera la confirmation ou non de la prévision de retour à l'équilibre opérationnel en 2009, dans un contexte de plus en plus difficile dans les infrastructures télécoms. Car si le déploiement de la 3G en Chine soutient les facturations à court terme, le broker pense que la tendance est à la détérioration au vu des derniers commentaires d'Ericsson sur la frilosité des investissements dans les pays d'Europe de l'Est, d'Afrique ou d'Amérique Latine.

brokers en soutien.

Le titre Nexans poursuit sa hausse ce mercredi. A 45,2 euros, l'action prend encore près de 5%, quand l'indice parisien affiche une hausse de près d'1%, après avoir grimpé de 5,2% la veille. Les investisseurs confirment ainsi leur enthousiasme sur la valeur, dont les résultats, publiés hier avant ouverture, ont rassuré, en termes de coûts et de perspectives. Plusieurs brokers ont réitéré le soutien.

Après la réunion d'analyste, Natixis a surtout retenu que les ventes se sont stabilisées au deuxième trimestre et que la marge opérationnelle corrigée s'améliore (6% contre 5% au premier trimestre). Aussi, la diminution des stocks de l'ordre de 10 à 20% d'ici fin 2009, annoncée par le management, est une bonne nouvelle, selon le courtier. Mais ce sont surtout la discipline des prix et la réduction des coûts fixes qui ont pesé sur les relèvements de prévisions de la part du broker, qui a remonté son objectif de cours de 42 à 46 euros (à 'renforcer').

En effet, Natixis table sur une diminution nette de 2 000 personnes environ (dont 1 000 au premier semestre 2009) - fermetures de sites de production surtout dans les câbles pour bâtiment et automobile, mais également dans les câbles d'infrastructures au Canada et dans les spécialités industrielles en Europe - et une réduction des coûts fixes de l'ordre de 80 millions d'euros (-7%).

De son côté, Exane BNPParibas a fait savoir qu'il relevait sa recommendations sur Nexas, de 'sous-performance' à 'neuter', avec un objectif de cours de 45 euros.

Même tendance pour UBS, qui est passé de 'vendre' à 'neutre'. Une opinion assortie d'une valorisation théorique de 46 euros.

Enfin, si gilbert Dupont a sorti hier la valeur de ses 'favorites', le bureau a toutefois réitéré avec convisction son conseil d'achat (objectif de cours 50,7 euros) : 'malgré la baisse plus forte qu'attendu du chiffre d'affaires et des charges financières plus importantes qu'anticipé au premier semestre, la valorisation actuelle du titre ne prend pas en compte le potentiel de reprise du chiffre d'affaires et des marges du groupe au-delà de 2009/10', a-t-il assuré. Le renforcement des efforts de repositionnement et de restructuration du groupe pourrait en outre accélérer ce rebond, a poursuivi le spécialiste.

la clôture de la Bourse de Paris

PARIS (Reuters) - Liste des valeurs suivies mercredi à la Bourse de Paris où le CAC 40 a terminé en hausse (+1,04% à 3.365,62 points) après la publication de très nombreux résultats d'entreprises jugés positifs dans l'ensemble.

* PSA PEUGEOT CITROËN, plus forte hausse du CAC, a grimpé de 10,92% à 20,420 euros. Le constructeur a fait état d'une perte opérationnelle courante de 826 millions d'euros au premier semestre mais a indiqué qu'une forte diminution des stocks lui avait permis d'afficher un free cash flow positif de 467 millions. Son directeur général Philippe Varin compte sur le lancement de nouveaux modèles pour faire la jonction avec la reprise du marché automobile qu'il escompte pour la fin 2009. Il a déclaré qu'il n'y avait pas d'urgence cette année à procéder à des cessions d'actifs et s'est dit flexible sur la participation dans FAURECIA (-0,12% à 8,200 euros).

Dans le même secteur, RENAULT a pris 5,67% à 28,520 euros et MICHELIN 3,10% à 45,500 euros.

* EDF a avancé de 3,50% à 33,130 euros en raison d'informations de presse faisant état d'une hausse des tarifs de l'électricité à la mi-août. "Si cela se confirmait, ce serait une très bonne nouvelle pour EDF", commente un analyste, qui n'a pas intégré en matière de hausse des tarifs dans ses estimations, comme beaucoup d'analystes. Il estime son impact à +5,8% sur les BPA 2009.

* AIR FRANCE-KLM est reparti à la hausse et a gagné 3,64% à 8,960 euros après trois séances de baisse consécutives durant lesquelles le titre avait cédé plus de 4%. Le transporteur aérien doit publier ses résultats du premier trimestre jeudi après-Bourse.

* SANOFI-AVENTIS a fini en hausse de 0,30% à 47,120 euros, après avoir pris jusqu'à 2,5% en séance, après la publication de résultats du 2e trimestre supérieurs au consensus et revu en hausse ses prévisions 2009. Oddo a relevé sa recommandation d'"accumuler" à "achat". D'autres analystes notent toutefois que l'avenir reste incertain, avec la concurrence des génériques.

* Les valeurs bancaires ont également soutenu la tendance, au premier rang desquelles BNP PARIBAS qui a pris 0,92% à 49,070 et SOCIÉTÉ GÉNÉRALE (+1,53% à 44,320).

* NATIXIS s'est envolé de 20,09% à 1,638 euros sur des rumeurs d'annonce d'une nouvelle stratégie pour la banque détenue à 72% par les Banques populaires et les Caisses d'épargne. La fusion des deux entités devrait contribuer à simplifier l'actionnariat et la gestion de Natixis.

* ARCELORMITTAL en revanche s'est replié de 4,44% à 24,200 euros après l'annonce d'une perte nette de 0,8 milliard de dollars au deuxième trimestre. Le sidérurgiste a évoqué une reprise très lente de ses activités au second semestre après sa 3e perte trimestrielle consécutive. Oddo Securities a abaissé son opinion d'"acheter" à "accumuler". Le broker juge les résultats et les perspectives décevants.

* Hors CAC, RHODIA a fait un bond de 11,97% à 6,454 euros après la publication de résultats meilleurs que prévu et l'annonce que l'Ebitda récurrent du 3e trimestre devrait être meilleur qu'au 2e trimestre. CM-CIC est passé à l'achat sur le titre et Oddo a relevé son opinion d'"alléger" à "accumuler".

* NEXANS a avancé de 4,86% à 45,200 euros au lendemain de la publication d'une perte nette au 1er semestre. Le fabricant de câbles vise néanmoins l'équilibre en 2009 et a confirmé son objectif de marge. Plusieurs brokers ont relevé leur recommandation et/ou leur objectif de cours sur le titre, dont Exane BNP Paribas, Kepler et UBS.

* ATOS ORIGIN s'est adjugé 3,70% à 29,275 euros après avoir publié des résultats globalement conformes aux attentes au premier semestre et confirmé ses objectifs annuels.

* EULER HERMES, deuxième plus forte baisse du SRD après THOMSON (-8,24% à 0,936 euros), a chuté de 7,59% à 40,430 euros. Le leader mondial de l'assurance crédit a vu ses résultats chuter au premier semestre et dit ne pas prévoir d'amélioration significative avant 2010. HSBC est passé de "surpondérer" à "neutre" sur le titre et Natixis Securities de "renforcer" à "alléger".

* BUREAU VERITAS a perdu 3,88% à 32,200. Le numéro deux mondial des services d'évaluation et de certification a annoncé mardi s'attendre à une croissance plus lente de son activité au second semestre après la solide performance enregistrée au début de l'année, sous l'effet du ralentissement des divisions construction, mines et minéraux.

des finances publiques des Etats de l’UEMOA, prévient la Banque centrale

APA- Abid­jan (Côte d’Ivoire)- Le gou­ver­neur de la banque cen­trale des Etats de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO), Phi­lippe Henri Da­kou­ry a pré­ve­nu à Abid­jan que les dif­fi­cul­tés des fi­nances pu­bliques des Etats de l’union, re­flé­tées par les ac­cu­mu­la­tions d’ar­rié­rées de paie­ment in­té­rieur pour­rait être ac­cen­tuées par les ef­fets né­ga­tifs de la crise fi­nan­cière in­ter­na­tio­nale qui pré­vaut en ce mo­ment à tra­vers la baisse des re­cettes fis­cales.

L’ac­cu­mu­la­tion de paie­ment des ar­rié­rés sur la dette pu­blique in­té­rieure a un im­pact né­ga­tif sur les ac­ti­vi­tés des pays à tra­vers no­tam­ment les pres­sions qu’elles exercent sur les en­tre­prises pu­bliques et pri­vées et par­tant sur le sec­teur ban­caire, a af­fir­mé le pa­tron de la BCEAO.

M. Da­kou­ry Ta­bley a fait cette dé­cla­ra­tion lors d’un conseil ex­tra­or­di­naire des mi­nistres de l’union éco­no­mique et mo­né­taire ouest afri­caine (UEMOA), tenue lundi à Abid­jan.

Il a en outre rap­pe­lé que la réunion or­di­naire du conseil des mi­nistres tenue le 27 mars 2009 à Abid­jan à ins­truit, la BCEAO, conseiller fi­nan­ciers des Etats, de pro­cé­der en re­la­tion avec la com­mis­sion de l’UEMOA à un re­cen­se­ment des ar­rié­rés de paie­ment in­té­rieur des Etats.

La fi­na­li­té de cette dé­marche est de pro­po­ser des mo­da­li­tés d’ac­tions à mener au ni­veau com­mu­nau­taire en vue de trou­ver une so­lu­tion du­rable à ce pro­blème.

Un conseil ex­tra­or­di­naire des mi­nistres de l’union éco­no­mique et mo­né­taire ouest afri­caine (UEMOA) s’est tenu lundi à Abid­jan pour faire l’état des lieux des ar­rié­rés au titre de la dette in­té­rieure des Etats membres de l’union dans la pers­pec­tive de trou­ver de nou­velles so­lu­tions pour évi­ter de nou­velles ac­cu­mu­la­tions.

Le pré­sident de la com­mis­sion de l’UEMOA, Soumaïla Cissé et le gou­ver­neur de la banque cen­trale des Etats de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO), Phi­lippe Henri Da­kou­ry Ta­bley de même qu’Ab­dou­laye Bio Tcha­né de la banque ouest afri­caine de dé­ve­lop­pe­ment (BOAD) ont par­ti­ci­pé aux tra­vaux.

Les Etats membres de l’UEMOA sont le Bénin, le Bur­ki­na Faso, la Côte d’Ivoire, la Gui­née Bi­seau, le Mali, le Niger, le Sé­né­gal et le Togo.

Le conseil des mi­nistres de l’UEMOA est pré­si­dé de­puis jan­vier 2008 par le mi­nistre ivoi­rien de l’Eco­no­mie et des Fi­nances, Charles Koffi Diby.

Bourse de Paris attendue en hausse à l'ouverture

La Bourse de Paris devrait ouvrir en hausse mercredi, le contrat à terme sur le CAC 40 prenant 0,74% une quarantaine de minutes avant le début de la séance, au lendemain d'un repli marqué.

Mardi, il a abandonné 1,23%, sur des prises de bénéfices motivées notamment par un indicateur de confiance américain décevant.

Wall Street a fini de son côté sans direction claire: le Dow Jones a perdu 0,13% mais le Nasdaq a gagné 0,39%.

Mercredi matin, la Bourse de Tokyo a elle fini sa journée sur un léger rebond de 0,26%.

Les entreprises seront au coeur des attentions mercredi alors que de nombreux poids lourds de la cote parisienne ont publié leurs résultats trimestriels peu avant l'ouverture du marché.

Sur le front macro-économique, la Banque centrale européenne (BCE) doit publier une étude trimestrielle sur l'activité de crédit des banques à 10H00 (08H00 GMT).

Aux Etats-Unis, les commandes de biens durables pour juin sont attendues à 14H30 et les stocks hebdomadaires de pétrole brut à 16H30.

VALEURS A SUIVRE:

ARCELORMITTAL a accusé au deuxième trimestre une troisième lourde perte consécutive, de 792 millions de dollars, mais le numéro un mondial de la sidérurgie table sur un redressement graduel du marché sur la suite de l'année.

PEUGEOT a enregistré une perte nette de 962 millions d'euros au premier semestre 2009, contre un bénéfice net de 733 millions d'euros pour la même période de 2008.

RHODIA a subi une perte de 40 millions d'euros au deuxième trimestre mais perçoit des signes d'"amélioration" pour le troisième.

SANOFI-AVENTIS a annoncé un plan d'économies de 2 milliards d'euros d'ici 2013 et a relevé son objectif de croissance de son bénéfice net par action pour 2009, après une hausse de son bénéfice net et de son chiffre d'affaires trimestriels.

ATOS ORIGIN a annoncé un bénéfice net divisé par près de 7 au premier semestre, à 18 millions d'euros, et un chiffre d'affaires en recul de 9,6% à 2,59 milliards.

STMICROELECTRONICS: le producteur franco-italien de composants électroniques a enregistré une perte nette au deuxième trimestre, plus lourde que prévu à 318 millions de dollars.

LAFARGE cède l'ensemble de ses activités ciment, béton, granulats au Chili, qui représentent "une valeur d'entreprise de 555 millions de dollars", à un groupe péruvien.

EADS: un Airbus A320 de la compagnie aérienne AIR FRANCE a subi un nouvel incident lié à une sonde Pitot, chargée de mesurer la vitesse de l'appareil.

Les sondes Pitot fabriquées par THALES sont le premier maillon de la chaîne anémométrique (surveillance de la vitesse).

ICADE: la société immobilière, filiale cotée de la Caisse des dépôts (CDC), a enregistré un résultat net en progression de 21,9% au premier semestre, à 111,5 millions d'euros, mais un recul de son chiffre d'affaires.

M6 a enregistré au premier semestre 2009 un bénéfice net part du groupe de 80,1 millions d'euros, en légère hausse de 1% par rapport à la même période de 2008.

EDF ENERGIES NOUVELLES: la filiale d'EDF spécialisée dans les énergies renouvelables, a enregistré au premier semestre un bénéfice net de 41,8 millions d'euros, en hausse de 53,7%, et confirmé son objectif annuel.

BUREAU VERITAS, numéro deux mondial de l'inspection et de la certification, a annoncé mardi un fort ralentissement de ses ventes trimestrielles, en hausse de 5%, ce qui l'amène à anticiper une croissance réduite de son activité pour le reste de l'année.

ALCATEL-LUCENT: le ministre de l'Industrie Christian Estrosi a assuré mardi qu'il n'y aurait pas de fermetures de sites en France ni de délocalisations d'emplois dans la recherche chez Alcatel-Lucent, ce dernier point laissant toujours sceptiques les représentants des salariés du groupe.


Valeur(s) associée(s)

Libellé Bourse Dernier Var. Vol.
ALCATEL-LUCENT Nyse Euronext 1.806(c) +4.45% 21 468 339
ATOS ORIGIN Nyse Euronext 29.275(c) +3.70% 548 954
BUREAU VERITAS Nyse Euronext 32.200(c) -3.88% 661 207
EADS Nyse Euronext 13.240(c) +1.81% 2 189 242
EDF Nyse Euronext 33.130(c) +3.50% 2 267 118
THALES Nyse Euronext 28.880(c) -2.55% 671 985
ICADE A ECHANG Nyse Euronext 48.20 0% 0
LAFARGE Nyse Euronext 50.110(c) +1.17% 911 867
METROPOLE TV (M6) Nyse Euronext 13.495(c) +3.81% 521 020
RHODIA NR Nyse Euronext 2.12 0% 0
SANOFI-AVENTIS Nyse Euronext 47.120(c) +0.30% 4 621 798
STMICROELECTRONICS Nyse Euronext 5.344(c) +2.75% 5 647 109
PEUGEOT Nyse Euronext 20.420(c) +10.92% 6 826 257
ARCELORMITTAL BRUXELLES 48.65 0% 0


Les conditions de crédit en Europe toujours difficiles

Selon un rapport de la Banque Centrale européenne (BCE) paru mercredi, même si elles se sont durcies au printemps, les conditions de crédit en Europe, l'ont été moins sévèrement qu'au premier trimestre. Alors que durant ce dernier, sur les 118 banques qui participent au sondage, 43% avaient resserré la vis à vis des entreprises, 28% pour les particuliers, elles sont respectivement 21% et 22% à l'avoir fait le deuxième trimestre. Incertitudes sur la conjoncture économique et sur l'activité industrielle, donc risques de faillites ou d'insolvabilités, sont les principales raisons avancées par les banques.

Alors que les entreprises ont eu peu recours au crédit, côté particuliers, la demande a été positive, selon le rapport de la BCE. Cités par l'AFP, analystes comme économistes, même s'ils y voient des signes "encourageants" voire d'optimisme, jugent que cette étude "n'en alimente pas moins les inquiétudes" : "Nous sommes encore très loin d'un assouplissement des critères du crédit, ce qui suppose que la relance sera plutôt morose une fois que la zone euro sera finalement sortie de la récession", souligne par exemple Ben May, de Capital Economics à l'AFP. Et de rappeler l'appel de la BCE aux banques européennes, d'alimenter les financements, en contrepartie des plans de relance nationaux et des liquidités de la BCE, dont elles ont été largement bénéficiaires.

la Guinée est la Banque centrale

A la tête de la plus grande institution bancaire du pays depuis le 16 janvier 2009, Alhassane Barry a entamé une série de reformes : l'assainissement du circuit monétaire, le raffermissement du franc guinéen, la lutte contre la corruption et la transformation de la BCRG en une institution de référence, qui va au-delà de la Guinée. Mais qui est-il ? Zoom

Né le 15 novembre 1962 à Mamou, l’actuel gouverneur a de la qualité à mettre en valeur. Surtout dans le secteur bancaire. Son ascension a commencé par l’Inspection des banques et assurances devenue aujourd’hui, la Direction générale de la Supervision des banques et assurances. En qualité d’Assistant du Directeur chargé de cette institution, il a accompli avec succès sa mission, dont les principaux axes étaient d’assurer la supervision des travaux de contrôle sur pièce, et diriger les missions de contrôle des établissements de crédit. Cette étape sera déterminante pour la carrière de M. Barry. Puisqu’elle lui permettra de maîtriser les missions assignées à la plus ancienne institution financière internationale, Banque des Règlements Internationaux (BRI) dont les actionnaires sont les banques centrales.

Alhassane Barry est ensuite nommé Directeur général chargé de l’audit interne. Dans son portefeuille, deux missions délicates. Coordonner les activités de la Direction de l’audit interne, veiller à l’amélioration des stratégies de travail et à la formation des auditeurs. Poste qu’il occupera jusqu’à la prise du pouvoir par le Conseil national pour la démocratie et le développement.

Le gouverneur de la BCRG a un peu plus de 20 ans d’expérience dans le domaine de l’audit et de l’inspection des banques primaires et des compagnies d’assurances de la place. Formé en 1991 aux cours bancaires de Sion en Suisse, il est aussi un produit du Centre de Formation Dale Carnegie et Associated INC de Paris (1994). Titulaire d’un diplôme de 3è Cycle en Monnaie et Banque, M. Barry a empoché son Certificat International Auditors à l’Institut International des Auditeurs en 2005.

Il vient à la tête de la Banque centrale guinéenne avec des expériences acquises au cours de ses nombreux stages et séminaires à Paris, Boston, Tunis, Washington, Dakar, Lausanne. « Il a acquis pendant ces rencontres, un savoir-faire relatif à la certification, l’ajustement macro-économique, la gestion des risques, le système comptable hautement informatisé et relié aux systèmes modernes de télécommunications tels que le SWIFT», confie une source qui connaît le nouveau patron de la Banque Centrale de la République de Guinée.

Dans son entourage, on parle d’un homme compétent. Mais aussi d’un homme très calme et modeste. Avec son équipe, il vient de procéder au relèvement du capital des banques primaires pour dit-il « consolider leurs assises financières ».

Alhassane Barry a un autre rêve. Devenir un des acteurs majeurs dans la création de la monnaie de la ZMAO, la seconde zone monétaire de l’espace CEDEAO. D’où le lancement en juin dernier, du projet de modernisation du système de paiement en Guinée, un des critères de convergence requis pour la mise en route de la monnaie commune.

le crédit s'est un peu atténué dans la zone euro

Par Mark Jones et Sakari Suoninen

FRANCFORT (Reuters) - Les banques de la zone euro ont encore durci leurs conditions de crédit au deuxième trimestre, mais à un rythme moindre, et cette situation devrait perdurer sur les trois mois en cours, selon une enquête publiée par la Banque centrale européenne.

Le ralentissement économique est le principal motif du durcissement des conditions d'attribution de prêts aux entreprises et aux ménages, montre l'enquête trimestrielle réalisée auprès de 118 établissements.

La proportion de banques signalant un resserrement de leurs conditions de crédit aux entreprises a baissé de moitié au deuxième trimestre, à 21% contre 43% au premier trimestre.

La demande a baissé au cours de ces trois mois, du fait de moindres besoins de financement des entreprises en raison du contexte économique actuel, mais les banques l'attendent mieux orientée au troisième trimestre.

"La demande nette des entreprises devrait redevenir positive au troisième trimestre, pour la première fois depuis le quatrième trimestre 2007," indique la BCE dans un communiqué.

Le banques, rendues prudentes par la crise financière, ont durci l'accès au crédit pour les entreprises et les ménages au cours des huit derniers trimestres.

LE VRAI TEST EN FIN D'ANNÉE

Les banquiers et économistes mettent en avant la baisse de la demande pour expliquer la faiblesse de la croissance du crédit, mais cela n'empêche pas les gouvernements et les responsables de la BCE, à commencer par son président Jean-Claude Trichet, de presser les banques de prêter plus pour contribuer à la relance de l'activité.

"L'enquête de la BCE est assez positive," juge Laurent Bilke chez Nomura à Londres. "Le durcissement va s'atténuer, surtout pour les entreprises, et c'est une bonne nouvelle."

L'enquête trimestrielle de la Banque de France, publiée dans la matinée, allait dans le même sens.

Le financement de l'économie réelle est enjeu majeur de la reprise.

Une enquête de l'institut Ifo publiée mercredi montre que les entreprises allemandes sont plus nombreuses à se plaindre de conditions de crédit trop restrictives. Des organisations professionnelles françaises leur font écho.

Jean-Claude Trichet, au nom de la BCE, a demandé aux banques de prêter davantage et son collègue Axel Weber, patron de la Bundesbank, a laissé entendre que les banques centrales pourraient contourner le problème en prêtant directement aux entreprises.

"L'enquête d'aujourd'hui semble montrer que la situation évolue dans le sens que souhaite la BCE," relève Gilles Moëc, économiste chez Deutsche Bank à Londres.

"Mais le vrai test sera à la fin de l'année quand la demande commencera à remonter. La réponse du secteur bancaire sera alors l'élément crucial."

les taux directeurs sont inchangés par la banque centrale

La Banque centrale de Pologne (NBP) a laissé inchangés mercredi ses taux directeurs, après les avoir baissés de 0,25 point fin juin, selon un communiqué publié à l'issue d'une réunion mensuelle de son Conseil de politique monétaire.
Le principal taux directeur, le taux minimal d'intervention bancaire, reste à 3,5%, le taux d'escompte demeure à 3,75% et le lombard à 5%.
La décision de la NBP correspond aux attentes des analystes.
L'inflation en Pologne a ralenti en juin à 3,5% en glissement annuel, après 3,6% en mai et 4% en avril.

actions corrigent Les marchés

Les places boursières mondiales ont marqué le pas hier en clôturant en territoire négatif miné par la baisse du niveau des ventes au Royaume-Uni et par la chute abyssale du moral des consommateurs américains. En effet, la confiance des ménages est ressortie à 46.6 alors que les analystes tablaient sur 49.1. Les investisseurs ont participé à des prises de bénéfices au regard de ce mauvais indicateur macroéconomique qui a plombé l'appétit pour le risque entamé depuis deux semaines. C'est pourquoi on a assisté à une dépréciation des indices boursiers à l'image du Cac 40 qui a abandonné 1.23% à 3330.97 points. Le Footsie a également évolué dans le rouge en perdant 1.28% à 4527.28 points diminué par la baisse des vents CBI révélée à -15 au lieu de -12. Outre-rhin, le Dax a reculé comme ses pays voisins en lâchant 1.43% à 5174.74 points. Du côté américain, Wall Street a limité sa chute en terminant quasiment à l'équilibre à -0.13% à 9096.72 points alors que le Nasdaq a glané 0.39% pour se situer à 1975.51 points. Le Dow Jones a su résister face au plongeon inattendu de la confiance des ménages américains grâce notamment aux bonnes performances des valeurs technologiques.

Sur le marché du Forex, les cambistes ont privilégié les valeurs refuge au détriment des monnaies risquées en raison de la parution des mauvais chiffres économiques à l'image de la baisse du moral des consommateurs américains. L'euro a perdu plus de 150 pips face au dollar passant d'une cotation de 1.4300 à 1.4140. La monnaie unique a également chuté lourdement face au yen en cédant plus de 300 pips pour coter actuellement à 133.10 yens. Les investisseurs se sont réfugiés vers le dollar et vers le yen en raison de l'aversion au risque qui se fait ressentir de plus en plus sur les marchés. Le câble a également suivi le même trend baissier reculant de 200 pips. Le gbp/usd teste en ce moment son support mineur à 1.6358 dollar. Enfin, l'usd/jpy a évolué dans la même direction que les marchés actions. La parité s'est dépréciée de 100 pips pour se traiter à l'heure actuelle à 94.15 yens.

Aujourd'hui, nous porterons notre attention sur les chiffres relatifs aux crédits hypothécaires en Angleterre à 10h30 suivis des commandes de biens durables aux Etats-Unis à 14h30 et des stocks de pétrole à 16h30 qui apporteront une nouvelle indication au prix du baril de