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lundi 31 août 2009

les marchés de forex

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Les actions guident le marché, les matières premières et le FOREX suivent.

Le marché mondial des actions continue d’établir la tendance pour les matières premières et les marches des devises. Dans le graphique ci-dessous de l’indice S&P500, un observateur expérimenté peut facilement entrevoir la direction globale pour la plupart des autres indices majeurs ainsi que pour les devises ou les matières premières.

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L’Indice S&P 500: Donne une vue d’ensemble depuis notre dernier bulletin

Pourquoi ?

Les autres principaux marchés boursiers suivent généralement cette tendance globale

Il y a bien entendu des exceptions. Shanghai a chuté de 20% depuis la mi-aout, principalement basé sur des remarques de officiels Chinois qui ont signifié qu’ils ne souhaitaient pas que les indices augmentent aussi vite, et que les crédits seraient restreints afin d’éviter une vague de ‘’mauvais’’ prêts. De ce fait, la restriction des crédits n’est pas bonne pour les marchés, pas plus que les préoccupations officielles sur les prix élevés des indices. Pour un pays supposé en forte croissance, ni de mauvais prêts ni les prix élevés des indices ne devraient être un problème. De nouveau, on met en doute la crédibilité de la croissance Chinoise, peut importe leurs bons résultats comptables

Pour la plupart, cependant les marchés boursiers mondiaux ont augmenté de manière identique. Comme à l’accoutumée ont aussi suivi le pétrole, les métaux précieux et la plupart des principales matières premières. Idem pour les devises qui ont tendance à suivre la direction des autres actifs à risque soit AUD, NZD, CAD et dans une moindre ampleur l’EUR. Pourquoi ? L’augmentation des indices suggère croissance, qui suggère augmentation du prix des matières premières et du cours des devises attachées à ces matières premières. L’optimisme en hausse encourage aussi les opérations spéculatives sur écart de rendement, plus connus sous le mot anglophone de carry Trade (acheter des devises a fort rendement et vendre celle a faible rendement.) ce qui par la suite pousse la demande du AUD et du NZD.

L’Euro a tendance à bouger dans le sens inverse de l’USD. Cela parce que la paire EUR/USD représente environ un tiers des transactions Forex, signifiant que l’une et l’autre n’ont pas le choix que de bouger a l’inverse de l’autre.

Les devises refuges (le JPY, USD et CHF) prennent aussi leur direction habituelle à partir du marche des indices, leur demande baissant puisque la hausse des indices fait diminuer la demande pour les devises refuge à faible rendement.

Le rallye actuel: propulsé par la ‘Pensée Positive’

Pourquoi ce rallye des marchés ? Les nouvelles étaient loin d’être favorables. En réalité, il s’agit d’une succession de bonnes et mauvaises nouvelles – ces dernières étant plus nombreuses.

icon_arrow Cependant, la plupart des banques centrales s’inquiète de la fragilité du rétablissement des économies; et seule la Banque Royale d’Australie commence à évoquer la possibilité d’une augmentation des taux d’intérêt directeurs.

icon_arrow Une grande partie de l Europe se trouve encore dans une situation délicate et il y a un véritable risque de défaillance majeur dans le plupart des pays.

icon_arrow En général l’emploi et la demande de consommateurs sont encore très faibles, également aux Etats-Unis ; ou les dépenses des ménages représentent 70 % du PIB.

icon_arrow Le système bancaire américain à l’origine de la crise actuelle ne parvient toujours pas à se relancer, et aura besoin d’avantage de soutien.

Dans l’ensemble, on considère que le pire est passé, le rythme de la récession est en train de ralentir et on commence à voir quelques signes de croissance positive en Allemagne, France et au Japon. Malgré cela, les analystes ont confiance que le renflouement en argent sera une opération nécessaire.

Essentiellement ; les marchés ont décidé de se concentrer sur les cotés positifs.

Cependant, compte tenu de la valeur des actions à leur plus haut depuis plusieurs années relativement aux profits ; et ce malgré la récession qui continue, combien de temps les actifs à risque peuvent encore continuer à augmenter ou même se stabiliser?

Conclusion

En résumé; avec plusieurs actif risqués comme le S&P et le pétrole qui ont atteint des niveaux les plus hauts depuis 10 mois ; nous pensons que les traders risquent bien de se désengager progressivement des actifs risqués et de rebondir sur le USD le JPY et le CHF.

le sentiment d’être ailleurs

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Particulièrement critique, Olivier Dartigolles, porte-parole du PCF, ne cache pas sa lassitude devant "la gauche qui n'arrive pas à se relever", une "gauche (qui) donne le spectacle d'un débat politicien".

Pour lui, une seule question compte: "Oui ou non, sommes-nous pour la constitution d'un projet à gauche ?". Et de stigmatiser une alliance PS-MoDem dont la gauche "ne se relèverait pas".

Ensuite, les primaires, "c'est le chemin de la défaite à gauche".

Vous êtes à Vieux-Boucau pour l'université d'été du Parti communiste, et vous venez de vous exprimer aujourd'hui (NDLR : hier samedi) à La Rochelle lors d'un débat avec les socialistes. Pour dire quoi à vos partenaires de gauche ?

Olivier Dartigolles. Il s'agissait du seul débat de l'université d'été du PS qui rassemblait toutes les formations de gauche, et il portait sur la sortie de crise. Il existe aujourd'hui une forme de consensus sur le rôle de l'État et la question des politiques fiscales. L'accord est en revanche beaucoup plus difficile à trouver sur l'Europe, notamment la Banque centrale européenne, ou l'articulation des questions écologiques et sociales. Il faut maintenant se mettre en ordre de marche pour pointer ces convergences, et non pas se préoccuper de primaires.

Vous êtes hostile à des primaires à gauche ?

Poser cette question aujourd'hui et de cette manière, sans le moindre processus de discussion des contenus avec toutes les formations de gauche, cela donne un spectacle préoccupant, à côté des réalités quotidiennes des Français. Si la gauche se présente dans un tel état d'impréparation, nous n'irons pas loin.

Faire l'union de la gauche ne vous paraît pas important ?
Bien entendu, mais pas dans n'importe quelles conditions. Sarkozy s'est remis à courir, occupe le terrain, joue la petite musique de la sortie de crise, et pendant ce temps la gauche donne le sentiment d'être ailleurs. Le Parti socialiste semble se replier sur des débats d'alliances, des questions politiciennes, au moment où il faudrait élaborer un véritable projet, au lieu d'essayer de savoir qui sera candidat en 2012.

Les primaires ont pourtant fonctionné en Italie ?

Au départ oui, mais la gauche y est laminée aujourd'hui. C'était une illusion, une alliance vide, qui doit faire réfléchir le PS sur le danger de s'allier au Modem. Le contenu d'un projet est essentiel. Il faut avoir la volonté de répondre aux inquiétudes des Français avec des propositions de gauche, un grand projet d'avenir, et ne pas remettre ces questions à plus tard. Cette tentation existe toujours. Du coup, la droite a toujours la main dans la bataille idéologique.

Aux régionales, partirez-vous aux côtés du Parti socialiste avec Alain Rousset en Aquitaine ou Ségolène Royal en Poitou-Charentes ?

Il faut que l'on rencontre l'ensemble des partenaires de gauche, que l'on ait des discussions sur les grandes priorités face à la crise. Nous nous adresserons à toutes les formations de gauche, et nous souhaitons rassembler dès le premier tour. Et je parle de la gauche, pas de personnalités d'ouverture ou du Modem. Pour l'instant, Alain Rousset en Aquitaine, par exemple, ne s'est pas exprimé publiquement sur sa conception du rassemblement.

Vous savez bien que les discussions porteront aussi et surtout sur le nombre de places éligibles...

Si le compte n'y est pas dans les propositions et le rassemblement, nous prendrons nos responsabilités. Sur cette question, le Parti communiste ne cherche pas des places, mais à porter un projet de gauche.

échec et bientôt mat ?

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Le crédit privé ralentit en zone euro….. pénurie de crédit en vue….Ignoramus devrait prendre modèle sur Super Bernie…..

PLUS DE DETAILS EN SUIVANT :

La croissance des crédits au secteur privé a nettement ralenti en juillet en zone euro, selon des chiffres de la BCE publiés jeudi, conséquence de la réticence persistante des banques à prêter et des plans d’économie des entreprises en difficulté.

Les crédits au secteur privé sont en progression de 0,6% sur un an, contre des hausses de 1,5% en juin et 1,8% en mai, a annoncé la Banque centrale européenne (BCE).

Le ralentissement de la progression des prêts bancaires aux entreprises s’intensifie, alors que les craintes d’une pénurie du crédit menaçant d’entraver un retour durable à la croissance se renforcent en Europe, notamment en Allemagne où la demande de crédit est plus forte que la moyenne.

Pendant ce temps la Super Bernie (Bernanke) , qui a tout compris lui, a annoncé officiellement sa décision de prolonger leTALF (Term Asset-backed securities Loan Facility) au-delà du 31 décembre. Le dispositif fonctionnera jusqu’au 31 mars 2010 pour les ABS adossés à des crédits aux consommateurs (automobile et cartes de crédit notamment) et aux PME et pour des titres adossés à des prêts hypothécaires commerciaux (CMBS) déjà existants. Le bon fonctionnement du TALF a permis de faire redémarrer les opérations de titrisation, en particulier pour le secteur automobile, et d’assurer le financement des organismes de crédit spécialisés. Pour les nouveaux CMBS, le TALF est prolongé jusqu’au 30 juin 2010 compte tenu des délais nécessaires à leur mise en place. Le secteur de l’immobilier commercial est resté à l’écart du redémarrage des opérations de titrisation et la Réserve fédérale souhaite mettre en place les ressources nécessaires.

Depuis six mois, les modes d’action des autorités monétaires aux Etats-Unis ont profondément changé et la structure du bilan de la banque centrale le reflète. Les différents dispositifs mis en place à l’automne après la liquidation de Lehman Brothers correspondaient à une situation d’urgence où l’alimentation du système en liquidité était essentielle et leurs montants ont beaucoup décru depuis. A leur place, la Réserve fédérale a opté pour des mécanismes de substitution à la création monétaire par les banques, toujours déficiente (les encours de crédits bancaires continuent à décroître). Les achats d’actifs sur le marché (obligations, obligations hypothécaires des agences fédérales) et le TALF remplissent cette fonction.

trois défis de Bernanke

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Ben Bernanke a obtenu cette semaine son maintien à la tête de la Banque centrale américaine et fait désormais face à trois défis: défaire l'oeuvre de son premier mandat, assurer le retour d'une croissance durable et l'indépendance de son institution.

Le président américain Barack Obama a annoncé mercredi la reconduction de M. Bernanke pour un deuxième mandat de quatre ans qui commencera le 1er février, louant les vertus de cet universitaire renommé et la politique de soutien massif à l'économie que la Banque centrale a mise en oeuvre sous son autorité.

C'est justement cette politique qui va constituer le premier défi de M. Bernanke puisque la Réserve fédérale (Fed) va devoir choisir le bon moment pour y mettre fin.

En cette période de transition entre fin de récession et début de reprise, la Fed doit éviter deux écueils. Si elle retire son soutien trop tôt, c'est le scénario de 1937 qui risque de se répéter. Tout juste sortie de la crise de 1929 l'économie américaine avait alors rechuté lourdement après que la Fed eut coupé trop tôt les robinets du crédit.

Qu'elle agisse trop tard, et c'est le spectre d'une inflation impossible à dompter qui surgit, comme à la fin des années 1970. La politique anti-crise de la Fed s'était en effet accompagnée d'une forte hausse de la masse monétaire, qui porte en elle des germes de hausse des prix à terme.

"Nous devons naviguer entre le risque qu'un repli prématuré des mesures de relance monétaire tue la croissance et celui qu'une aide prolongée alimente des craintes d'inflation", a reconnu mercredi Dennis Lockhart, un des dirigeants de la Réserve fédérale

Si la Fed de M. Bernanke parvient à se sortir de cette passe difficile, un deuxième défi se posera à elle: assurer le maintien d'une croissance durable. Il en va là de sa politique de taux directeur. Pour l'instant, la Fed a annoncé son intention de maintenir son taux quasi-zéro aussi longtemps que nécessaire.

L'histoire récente montre que la Fed n'a jamais relevé son taux directeur après une récession sans que l'on n'ait observé au préalable une diminution notable du taux de chômage. Mais la situation risque d'être plus compliquée cette fois-ci, alors que la banque centrale prévoit le maintien d'un taux de chômage très élevé au moins jusqu'en 2011.

Tant que l'inflation est très contenue comme c'est le cas actuellement, la Fed peut maintenir un taux bas mais plusieurs experts, comme l'économiste indépendant Joel Naroff, prévoient que la reprise s'accompagnera d'un retour d'inflation qui forcera la banque centrale à relever son taux "assez rapidement". Au risque de devoir accepter le maintien d'un taux de chômage élevé.

Le dernier défi posé à M. Bernanke vient du Congrès. Le projet gouvernemental de réforme de la régulation qui prévoit de confier un rôle accru à la Fed a déjà braqué bon nombre d'élus qui reprochent à M. Bernanke d'avoir failli à sa mission par le passé en ne voyant pas venir la crise.

Alors qu'une banque centrale indépendante passe aujourd'hui à bien des égards pour être la garantie d'une politique monétaire efficace, le parlementaire républicain Ron Paul a déposé un projet de loi destiné à soumettre la Fed au contrôle du pouvoir politique, affirmant avoir le soutien de plus de la moitié de la Chambre des représentants.

M. Bernanke n'était peut-être pas sans arrières-pensées lorsqu'il a remercié mercredi M. Obama pour son "soutien sans faille en faveur d'une Réserve fédérale.

Investissements en baisse

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Investissements en baisse, consommation en berne, déficits galopants : la reprise est fragile
par Françoise Garteiser
Lundi 31 Août 2009

** Oh là ! Que voyons-nous en première page ou presque du site LesEchos.fr ?

"Signaux contradictoires sur la solidité de la reprise"

C'est le cas de le dire : l'INSEE a en effet publié la semaine dernière les chiffres des prévisions d'investissement des industriels français... et ils sont en baisse : -21% pour le secteur industriel dans son ensemble... et jusqu'à -23% pour le secteur manufacturier.

Pour l'instant, nous explique le journal "après des mois de déstockage, les entreprises n'ont pas d'autre choix que de se remettre à produire, quand bien même ce serait à des niveaux plus faibles qu'avant la crise. Le secteur automobile, dopé par les plans de relance y compris dans les pays émergents, agit aussi comme un accélérateur de croissance. Trop conscients de l'importance du soutien à ce secteur, les gouvernements ne vont probablement pas retirer du jour au lendemain leurs aides".

Mais comme nous le répétons et répétons à longueur de Chronique, que se passera-t-il lorsque les aides cesseront -- car elles ne sont pas éternelles ? Pas d'investissement de la part des entreprises, consommateurs épuisés, crédit qui ne donne pas mine de repartir, chômage qui grimpe... il n'y a pas de quoi pavoiser. D'autant que, comme l'explique encore Les Echos, "[...] la question des finances publiques est probablement la plus épineuse. Les Etats ont investi 2 900 milliards de dollars, soit 5,3% du PIB mondial, pour soutenir l'activité".

"[Le] résultat est l'envolée de l'endettement public. Si certains pays, comme la Chine, ont de la marge en la matière, ce n'est le cas d'aucun des grands pays développés. Plus dur sera l'ajustement. Pour Pierre Cailleteau, 'cela va rendre encore plus indispensables les réformes que les pays développés repoussent depuis vingt ans, comme celle des retraites'."

Vraiment, il y a de quoi mettre l'eau à la bouche, non ?

** La rentrée sera donc explosive, comme nous le disait Jérôme Revillier, spécialiste du Forex, il y a quelques jours. Et Jérôme n'a pas attendu pour en tirer parti : profitant des remous qui se sont produits sur le marchés des changes en août, il a pu engranger des gains de 230 euros, 231 euros et 170 euros (en misant à chaque fois 2% d'un capital de 10 000 euros, soit 200 euros).

Les choses vont sans doute aller en s'accélérant à partir de septembre : ne manquez pas les prochains conseils de Jérôme ! Vous verrez que le Forex est bien plus simples -- et plus profitable -- que vous le pensez : il suffit d'avoir un bon guide...

** Les marchés actions, quant à eux, ont connu une fin de semaine en ordre dispersé. Le CAC 40 et les places européennes ont terminé dans le vert par la grâce de bonnes statistiques : amélioration du sentiment économique dans la Zone euro, à 80,6 contre 78 attendus, et révision à la hausse du PIB britannique au deuxième trimestre (-0,7% au lieu de -0,8% initialement annoncé).

L'indice hexagonal a ainsi engrangé 1,22%, à 3 693 points, tandis que le Footsie britannique progressait de 0,81% et le DAX allemand de 0,86%.

Côté américain, on était plus mitigé. La confiance des consommateurs américains a baissé en août, si l'on en croit l'indice de l'université du Michigan : 65,7 contre 66 en juillet -- pas bon signe pour la consommation... même si, justement, les dépenses de consommation ont augmenté pour le troisième mois consécutif, avec une hausse de 0,2% en juillet. Sauf que -- ultime statistique du jour -- les revenus des ménages, eux, stagnent.

Consommer plus avec les mêmes revenus et sans crédit... inutile d'être économiste diplômé de Harvard pour savoir que ça ne peut pas durer bien longtemps.

En tout cas, tous ces chiffres ont incité les investisseurs américains à se montrer prudents vendredi : le Dow Jones a perdu 0,38%, terminant la semaine à 9 544 points. Le Nasdaq a engrangé une très très légère hausse de 0,05% à 2 029, tandis que le S&P 500 reculait de 0,20%, à 1 029 points.

** Et enfin... un mot de l'or, qui a connu une belle journée vendredi, gagnant 7 $ au premier fixing de Londres, puis 5 $ au second -- et terminant à 955,50 $ l'once. A suivre...