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mardi 1 septembre 2009

Caris & Company est passé ce lundi de "neutre" à "surpondérer"

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De sources de marchés, le broker américain Caris & Company est passé ce lundi de "neutre" à "surpondérer" sur le titre du Groupe de San Antonio, Texas, Clear Channel Outdoor (CCO.PH - actualité) . Le courtier en profite également pour relever son objectif de cours de 6 à 9$.

Zone euro : les prix reculent pour le 3e mois de suite, moins qu'en juillet Zone euro : les prix reculent pour le 3e mois de suite, moins qu’en juill

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Les prix à la consommation ont reculé pour le troisième mois consécutif en août dans la zone euro, mais à un rythme moins rapide qu’en juillet, et les économistes estiment qu’ils devraient bientôt recommencer à progresser.

L’inflation s’est établie en août à -0,2% sur un an dans les seize pays de la zone euro, selon une première estimation publiée lundi par l’office européen des statistiques Eurostat.

Au mois de juillet, les prix à la consommation avaient reculé de 0,7%, un niveau sans précédent depuis la création de la zone euro en 1999 et même depuis la création de statistiques pour cette zone en 1996, Eurostat ayant recalculé les données des années avant la création de la zone euro.

Les prix s’étaient auparavant repliés de 0,1% en juin, le premier taux d’inflation négatif depuis la création de la zone euro. Ils avaient stagné en mai.

Après le pic historique de 4% enregistré en juillet 2008, l’inflation n’a cessé de ralentir puis est devenue négative dans la zone euro, dans le sillage du repli des prix pétroliers et de la pire récession traversée par la région depuis 1945.

Selon les premiers chiffres publiés par pays, les prix à la consommation ont reculé de 0,8% en Espagne en août et de 0,78% en Belgique, tandis qu’ils sont restés stables en Allemagne. En Italie, ils sont repartis à la hausse, progressant de 0,2%.

Eurostat ne détaille pas encore les composantes du chiffre de l’inflation.

Mais pour Howard Archer, économiste à l’institut IHS Global Insight, le rythme plus modéré du recul des prix en août est "clairement dû" à une évolution de l’effet de comparaison en ce qui concerne les prix de l’énergie, car ceux-ci avaient cessé de flamber après juillet 2008.

Selon Howard Archer, "il semble hautement probable que le mois de juillet marque le recul des prix le plus important dans la zone euro" et, après ce pic d’inflation négative, celle-ci devrait redevenir positive sur un an "d’ici les deux prochains mois".

Pour Cédric Tellier de Natixis, "l’inflation pourrait" même "retourner en territoire positif dès le mois prochain".

La Banque centrale européenne, gardienne de la stabilité des prix dans la zone euro, a exclu à plusieurs reprises une déflation, c’est-à-dire une baisse durable et généralisée des prix nocive pour l’économie, car elle incite consommateurs et entreprises à remettre à plus tard leurs achats et leurs investissements.

Elle explique la baisse des prix actuelle par rapport à un an par la flambée des prix à l’été 2008, notamment ceux du pétrole.

La BCE table sur une inflation de 0,3% cette année et de 1% l’an prochain, selon ses dernières prévisions.

la peur des chocs inflationnistes est devenue le moteur des politiques économiques

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L'histoire de l'inflation résonne comme une succession de traumatismes inscrits dans la mémoire collective, qu'elle soit subie (guerres), voulue (Allemagne des années 1920), ou tolérée ("trente glorieuses").

Ainsi, en 1716, John Law crée en France une banque privée qui émet des billets. Sa faillite, quatre ans plus tard, provoque une forte hausse des prix et une panique.

En 1920, le Traité de Versailles condamne l'Allemagne à payer aux vainqueurs de la première guerre mondiale 158 milliards de dollars. En cessation de paiement, l'Etat allemand fait alors fonctionner la planche à billets "pour montrer que ces réparations étaient insupportables", explique l'universitaire Pierre Bezbakh (Inflation et désinflation, La Découverte, 2006) : de décembre 1921 à décembre 1923, les prix sont multipliés par près de 36 milliards, provoquant la ruine de milliers de petits épargnants et d'entreprises.

Les "trente glorieuses", en France, sont aussi connues pour leurs "plans" - Pinay et Gaillard (1952, 1957, 1958), Giscard d'Estaing (1963, 1969) - de lutte contre l'inflation, alors quasi structurelle. Jusqu'au choc pétrolier de 1974 : suite au quadruplement du prix du baril, l'inflation dans les pays membres de l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) atteint en moyenne 14 % (21 % au Japon ou en Italie, 10,5 % aux Etats-Unis).

Les crises d'hyperinflation frappent, dans les années 1980 et 1990, des pays comme l'Argentine (5 000 % de hausse des prix en 1989), le Brésil ou la Turquie. Elles les contraignent à se soumettre aux exigences du Fonds monétaire international (FMI). La "menace inflationniste" conduit ainsi les politiques économiques à faire de la lutte contre la hausse des prix la priorité absolue.

En France, le premier plan Barre, en 1976, instaure un blocage des prix, une hausse des impôts, une augmentation du prix de l'essence pour lutter contre l'inflation, "préalable à tout redressement de l'économie nationale", selon le premier ministre d'alors.

Le second choc pétrolier de 1979-1981 débouche sur la "révolution libérale" : sous l'influence d'économistes néolibéraux comme Milton Friedman, le Royaume-Uni et les Etats-Unis privilégient la lutte contre l'inflation par une politique monétaire restrictive tout en réduisant le poids de l'Etat.

De nombreuses banques centrales adoptent alors une "cible d'inflation" - un niveau de hausse des prix très faible - comme fondement de leur politique monétaire. Ainsi, pour la Banque centrale européenne (BCE), l'inflation ne doit pas dépasser 2 % par an tout en restant proche de ce chiffre pour éviter toute déflation.

En France, Jean-Claude Trichet - actuel président de la BCE - exposait en 1992 les principes de la "désinflation compétitive" : une politique monétaire stricte, la réduction des budgets et des déficits publics, le désengagement de l'Etat du secteur productif.

Pourtant, observent certains économistes, l'inflation n'est pas forcément synonyme de faiblesse de l'économie : à la hausse des prix consécutive à la banqueroute de Law succèdent des années de progrès économique ; M. Bezbakh relève le vif rétablissement de l'Allemagne en 1924, ce qui "accrédite la thèse d'une hyperinflation largement spéculative".

Surtout, la peur de la hausse des prix pourrait être motivée, selon l'économiste Jacques Marseille, par des raisons moins avouables : "Si le combat contre l'inflation est devenu aujourd'hui si populaire, c'est que les jeunes ont cessé d'être les acteurs déterminant de la société européenne. Ce n'est pas un hasard si la période où l'inflation a été la plus durable et la plus régulière en France fut aussi celle du baby-boom, de la croissance des "trente glorieuses" et de celle du pouvoir d'achat", écrit-il (L'Argent des Français. Les chiffres et les mythes, Perrin, 2009).

"En 2050, les Européens qui vivent des revenus de l'épargne ou de la redistribution seraient plus nombreux que ceux qui vivent du travail et de l'investissement (...). Un facteur (...) qui explique à quel point on peut considérer le combat de la BCE contre l'inflation comme le combat de l'épargne contre le travail, de la vieillesse contre la jeunesse", assure-t-il. Faut-il pour autant proclamer, comme Jacques Marseille, que "le bonheur est dans l'inflation" ?

Masaaki Shirakawa, a exprimé lundi le voeu que le Parti démocrate du Japon (PDJ, centre)

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L e gouverneur de la Banque centrale du Japon (BoJ), Masaaki Shirakawa, a exprimé lundi le voeu que le Parti démocrate du Japon (PDJ, centre), grand vainqueur des élections législatives de dimanche, prendra les mesures nécessaires face aux défis économiques, selon les médias.
La Banque du Japon espère que la nouvelle administration "va prendre des décisions appropriées pour contrer les divers problèmes auxquels fait face l'économie japonaise", a déclaré M. Shirakawa, lors d'une conférence lundi à Osaka (ouest).
Interrogé sur les possibles répercussions de la victoire écrasante du PDJ sur la politique monétaire de la Banque du Japon, le gouverneur a rappelé que l'institution, indépendante, avait pour seule ambition et pour mission de favoriser une croissance durable sur fond de stabilité des prix. Il a refusé de commenter les propos de membres du PDJ sur les questions monétaires et budgétaires.
Le PDJ, emmené par Yukio Hatoyama (futur Premier ministre), a obtenu dimanche 308 sièges sur 480 à la Chambre des députés, une victoire historique qui interrompt un règne d'un demi-siècle du Parti libéral démocrate (PLD, droite).
Cette alternance intervient dans un contexte économique difficile, le Japon sortant tout juste d'une longue récession et étant à nouveau victime de la redoutée déflation contre laquelle s'escrime la BoJ.

début de semaine 01/09/2009

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Ce sont les prises de profits qui ont dicté leur loi sur les marchés aujourd'hui. En dépit de bons chiffres économiques, les investisseurs sont restés méfiants et sont restés fixés sur la baisse des marchés asiatiques tôt ce matin. Le CPI de la zone euro était pourtant sorti mieux qu'attendu à -0.2% (contre -0.4% anticipé) et l'indice PMI de Chicago revient sur les 50 alors que les analystes tablaient sur 47.4. Le CAC40 clôture à 3653 points à -1.07%. Les indices US ouvrent en forte baisse autour de -1% pour chacun. A noter que ce repli technique n'est pas surprenant en début de semaine dans l'attente d'annonce économique de premier ordre ; la tendance haussière reste valide.

Sur le marché du Forex, l'euro est resté amorphe ce matin par rapport au dollar en cotant dans un range 1.4255-1.4300. Cependant en début d'après-midi, la monnaie unique a bondi de 80 pips à 1.4365 face au billet vert grâce un bon indicateur américain révélé à 15h45. En effet, l'indice PMI Chicago est ressorti en nette hausse à 50 contre un consensus à 47.4. Ce chiffre macroéconomique a favorisé l'appétit pour le risque de la part des investisseurs privilégiant ainsi les devises dites risquées. Ainsi, le câble repasse au-dessus des 1.6300 à 1.6310 dollar, le gbp/jpy se traite à 151.40 yens et l'euro revient vers les 133 yens à 133.15. En revanche, l'usd/jpy pâtit de la baisse des marchés actions (CAC -1.07% et le DOW Jones à -0.91%) en se traitant à 92.80 yens.

Demain on suivra surtout le taux de chômage de la zone euro à 11h et l'ISM US à 16h.