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mardi 18 août 2009

les bonus de BNP

Avec l'affaire des bonus de BNP Paribas, les citoyens ont le sentiment que leurs gouvernants, impuissants, courent perpétuellement derrière les banquiers.

Ce n'est pas tant que les gouvernants courent derrière les banques mais qu'ils restent dans l'ensemble prostrés dans un profond silence. La cause de ce mutisme est à rechercher d'une part dans l'incompétence qu'ils s'attribuent en matière financière et d'autre part dans la propension constante qu'ont eue les politiques à placer la sphère financière en dehors de leur propre juridiction. C'est le cas en Europe, et aussi, et depuis beaucoup plus longtemps, aux Etats-Unis, où la Réserve fédérale n'a pas cessé de gagner en pouvoir au fil des années.

La plupart des politiques, de la droite au centre gauche, ont été acquis dans les années 80 à l'idéologie des marchés autorégulateurs qui seraient plus efficaces que les Etats. Des domaines de décision ont été retirés aux politiques et confiés à des institutions proclamées autonomes, peuplées d'économistes formés aux thèses «anarcho-capitalistes» de l'école de Chicago. La Fed et la Banque Centrale Européenne sont dotées de pouvoirs sans cesse plus importants relevant traditionnellement de la puissance publique. On a, sous prétexte d'indépendance, retiré entièrement la finance de la sphère d'influence du politique.

Cette abdication a permis aux banques centrales, en Europe comme en Amérique, de devenir des Etats dans l'Etat. Beaucoup ont espéré que l'arrivée au pouvoir de Barack Obama permettrait de réformer et de contrôler enfin la finance américaine. Peut-on encorey croire? P.J.: II reste peut-être un espoir, mais, depuis l'arrivée de Barack Obama aux affaires, on a eu droit à de nombreux débats sur des propositions de loi encadrant les banques. Mais, au moment du vote, il manque toujours des voix pour constituer une majorité. Des défections qui ne sont pas sans rapport avec les sommes importantes de Wall Street qui alimentent les caisses électorales des parlementaires américains pratique parfaitement légale dans ce pays, il faut le souligner.

Face à un candidat McCain très remonté contre lui, Wall Street a massivement soutenu Obama. Lorsqu'il a constitué son équipe, le nouveau président a choisi comme principal conseiller économique Larry Summers, l'homme qui sous Clinton avait supprimé le Glass-Steagall Act, qui séparait les banques de dépôt et les banques d'investissement. Mais le plus choquant, c'est la manière dont le gouvernement a permis à certaines banques ayant passé avec succès un stress test dont la presse a révélé que les résultats avaient été négociés entre l'Etat et ces banques elles-mêmes de rembourser l'argent que l'Etat leur avait prêté et de se dégager ainsi du devoir de modération qui leur avait été imposé.

D'une certaine manière, nous sommes dans la continuité de l'histoire américaine. Depuis l'affrontement Jefferson-Hamilton, à la fin du XVIIe siècle, il est acquis que les milieux d'affaires dominent la politique des Etats-Unis, aussi bien extérieure qu'intérieure. On ne connaît qu'une seule exception : la période 1933-1941, sous le New Deal de Franklin Roosevelt. Justement, à droite comme à gauche, on fait souvent référence à la crise de 1929 et aux politiques qu'elle a générées. La gauche en revient à Keynes, la droite au capitalisme «moral».

Mais la grande crise actuelle n'exige-t-elle pas de nouveaux concepts ?

II existe effectivement une différence essentielle. L'approche traditionnelle pour résoudre les crises du capitalisme consistait à privatiser les profits et à socialiser les pertes. Autrement dit, en cas de catastrophe, les budgets des Etats venaient régler l'addition. C'est d'ailleurs la stratégie que l'on a voulu mettre en œuvre en 2007. Mais on s'est aperçu alors que la masse de dettes dépassait largement la capacité des budgets publics. Cela crée un contexte entièrement nouveau. Ayant exclu les nationalisations, on a assoupli les règles comptables pour permettre aux banques de présenter dans leurs comptes d'exploitation des chiffres qui leur éviteraient la faillite.

Ce faisant, on a brisé une règle fondamentale du capitalisme qui exige la transparence sur la situation des agents économiques et de leurs actifs. Résultat : la valeur des choses est devenue incertaine et la situation s'améliorerait-elle vraiment demain qu'on ne pourrait pas le savoir

les lobbys font toujours la loi A Washington

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Alors que l'économie américaine flanche, une industrie semble insensible à la conjoncture: le lobbying. Un poignée de secteurs, notamment la santé, le pétrole et le gaz, ont été encore plus actifs en dépit de la récession. Les autres, comme le BTP et la finance, allouent moins de ressources au lobbying. Mais globalement, la baisse est faible - et l'influence des lobbyistes n'a souffert d'aucun déclin. Qu'importent les critiques, et il y en a beaucoup, l'industrie du trafic d'influence à Washington n'a pas perdu son efficacité... au contraire.

Le secteur financier en est le meilleur exemple. En général, les industries dépensent pour leur lobbying des sommes directement proportionnelles au nombre de législations en cours (par exemple, l'augmentation du lobbying dans les secteurs de la santé et de l'énergie ce dernier trimestre, alors que les commissions du Congrès s'acharnaient sur la réforme du système d'assurance santé et sur les quotas d'émissions de CO²). De la même manière, les banques et sociétés d'investissement ont vécu en juin, sous l'impulsion de la Maison Blanche, leur plus grande restructuration depuis des années. Et de nombreux observateurs reconnaissent aujourd'hui que les nouvelles lois et réglement ont été finalement très favorables à l'industrie financière.

Pourtant, le secteur financier a moins dépensé - environ 10% de moins! - pour le lobbying lors du second trimestre 2009 que lors du second trimestre 2008. Une analyse menée par le Center for Responsive Politics (CRP) a trouvé que les établissements financiers avaient dépensé 7,4 millions de dollars au deuxième trimestre de cette année, contre 8,24 millions à la même période l'an passé. Tandis que les banques commerciales ont déboursé un peu plus pour le lobbying ce trimestre-ci que l'an dernier, le total des sommes pour la finance a baissé, si on compare année par année, de 25,2 millions à 25 millions tout rond.

Pourquoi une telle baisse? Une réponse évidente consiste à dire que le secteur s'est affaibli. Bear Stearns et Lehman Bros. n'existent plus, Merrill Lynch a été racheté, et Goldman Sachs comme Morgan Stanley sont plus aujourd'hui des banques commerciales que des établissements d'investissement. La récession économique a raccourci les bilans, poussant de nombreuses banques à préférer payer leurs dettes auprès du TARP (Troubled Asset Relief Program - le programme mis en place par le gouvernement américain pour sauver les banques en leur permettant de se recapitaliser) plutôt que de faire pression sur le Congrès. Citigroup, par exemple, n'a dépensé cette année que 3,1 millions de dollars en lobbying - en gros le tiers des 8,8 millions dépensés pendant toute l'année dernière. Il est aussi possible que certaines banques réservent leurs tirs pour plus tard cette année, quand le Congrès regardera de plus près les propositions du Président.

Mais ces économies ne semblent pas le moins du monde affecter les performances des groupes de pression. Au contraire, ce trimestre, le secteur financier est celui qui a réussi le mieux et depuis longtemps. Évidemment, les banques ne sont pas très heureuses de voir qu'Obama a offert à la Réserve Fédérale (Fed, la banque centrale) un pouvoir de contrôle et de régulation, de même que l'idée de créer un Conseil de surveillance des services financiers n'est pas vraiment populaire. Mais globalement, Wall Street approuve les propositions de réformes présidentielles et a su préserver en dépit d'une crise où sa responsabilité est engagée l'essentiel de sa puissaance. Et puis plus le Congrès débat surtout depuis plusieurs semaines de la réforme du système de santé et de la facture énergétique, plus l'économie a le temps de se remettre sur pieds, et plus les législations sur la finance pourront s'adoucir avant d'arriver sur le bureau du Président.

Les observateurs de K Street (la rue des lobbyistes) comme ceux de Wall Street suggèrent que le lobbying ne s'est en fait pas relâché d'un pouce avec l'arrivée au pouvoir de l'administration Obama et avec la récession. «Ce n'est pas parce que les chiffres globaux ont diminué ici et là, par rapport à ce qu'ils étaient auparavant, qu'on doit penser que l'acharnement des lobbyistes ont cessé, même en faisant un gros effort d'imagination», souligne Dave Levinthal du CRP.

Ed Mierzwinski du Groupe de recherche de l'intérêt public (Public Interest Research Group) dit même que les lobbyistes du secteur de la finance n'ont jamais été aussi actifs. «Au Capitole, nous n'avons noté aucun accès de faiblesse des opposants à la réforme», explique-t-il. «Les rangs se sont peut-être resserrés, mais les banquiers et les établissements crédit sont toujours là, et bien là.»

Si moins d'argent et plus de résultats équivalent à une plus grande efficacité, alors on peut peut-être en déduire que la crise financière a rendu K Street plus performante. Un dollar dépensé en lobbying a toujours été l'un des meilleurs moyens qu'avait une entreprise - et par extension une industrie - pour accroître ses marges et ses profits. Manifestement, c'est toujours vrai.

le role de la banque centrale

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La politique monétaire traditionnelle n’étant plus à l’évidence un remède suffisant pour tempérer - et encore moins pour éviter - les conséquences négatives de notre expansion économique, nos Banques Centrales se doivent donc aujourd’hui de faire preuve de flexibilité et d’esprit d’à propos en modifiant en profondeur leur approche doctrinale afin d’éviter à notre système un choc supplémentaire qui serait - à n’en pas douter - fatal !

Elles en sont effectivement toujours au stade où, ayant réussi depuis vingt-cinq ans à maintenir un cadre où les cycles économiques étaient dépourvus d’inflation, elles s’étaient confortablement installées dans une routine consistant à éviter les erreurs des années 70... A présent que les ondes de choc de la crise financière la plus grave depuis les années 30 semblent s’atténuer, nos Banques Centrales ne peuvent se payer le luxe d’atermoyer une remise en question en profondeur d’une approche qui se limitait jusque là à observer l’expansion économique en simple spectateur tout en activant de temps en temps des soupapes permettant le dégagement du trop plein de volatilité et d’inflation, à l’instar du couvercle d’une cocotte minute qui permet d’en évacuer le surplus de vapeur...

Il est vrai que, depuis le milieu des années 80, les modifications structurelles d’une activité économique misant de plus en plus sur le secteur des services et de l’immobilier au détriment de l’industrie semblaient se traduire par une stabilisation du système permettant au passage à nos Banquiers Centraux de s’endormir sur les lauriers d’une expansion éternelle doublée d’une inflation qui serait elle-aussi maintenue éternellement sous contrôle. Bref, une religion du Big Bang appliquée à une économie érigée désormais au niveau de "science" et dont un des grand-prêtres aurait été l’actuel Président de la Fed Ben Bernanke qui, alors qu’il était en 2004 un des Gouverneurs de la Réserve Fédérale, assurait en substance que " l’amélioration de la politique monétaire a contribué de manière importante à réduire la volatilité (...) et qu’en conséquence les banquiers centraux n’oublieraient pas les leçons des années 70 ". Paroles qui semblent surréalistes cinq ans plus tard et alors que notre système financier a évité de justesse une liquéfaction totale...

Il est aussi vrai que, à la décharge de nos Banques Centrales, le système a surmonté avec brio ces quinze dernières années la crise Asiatique en 1997, la faillite du méga fonds LTCM l’année suivante, l’éclatement de la bulle des valeurs technologiques en 2000 et le 11 Septembre ! De fait, tandis qu’un certain nombre d’économistes avaient sous estimé la résilience de nos économies à encaisser ces chocs et à redémarrer avec encore plus d’énergie à chaque fois, les Banques Centrales, elles, semblaient bel et bien aux commandes.

La crise actuelle impose cependant de poser une question fondamentale : Et si la période de volatilité canalisée de ces quinze dernières années n’était qu’une parenthèse qui se serait refermée en 2007 ? Et si l’inflation n’avait été contenue que grâce aux délocalisations autorisant ainsi nos Banquiers Centraux à maintenir un climat de taux d’intérêts bas évidemment favorable à des emballements à répétition de la machine, c’est-à-dire aux bulles ? Pourquoi ne pas remettre aujourd’hui en question la raison même d’exister d’une Banque Centrale si son unique mission serait de lutter contre l’inflation ?

En réalité, c’est l’ensemble du cahier des charges de Banquier Central qui doit aujourd’hui être revisité : Nos autorités monétaires doivent impérativement passer à la vitesse supérieure car chercher à éviter la crise des années 70 se révèle dès lors un objectif mièvre quand c’est désormais le cauchemar des années 30 qui menace ! L’inflation n’est plus le seul et unique écueil macro économique à éviter, l’objectif - et le devoir moral - de nos Banques Centrales doit se doubler et s’étoffer par une lutte contre le crédit excessif.

Notre monde n’est plus le même après cette crise et il ne devra plus être le même car, faut-il insister à l’attention de ceux qui tentent aujourd’hui que la crise s’estompe de retrouver leurs vieux réflexes, il ne résistera pas à un choc supplémentaire !

l'Allemagne ne veut pas crier victoire trop tôt

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"La première vague de turbulences (...) est derrière nous. Maintenant, le danger vient des activités de crédit nationales", a décrété Axel Weber, le président de la Bundesbank au Süddeutsche Zeitung.

Certes, la croissance surprise du PIB allemand au deuxième trimestre éclaircie l'horizon de la première économie européenne, mais pour Axel Weber, l'influent président de la Bundesbank, il est encore trop tôt pour décréter la fin de la crise financière.

Dans une interview accordée au Süddeutsche Zeitung, le gouverneur de la Banque centrale européenne a déclaré que "la première vague de turbulences liée aux produits structurés dans les bilans des banques est derrière nous. Maintenant, le danger vient des activités de crédit nationales, comme une augmentation des défauts d'entreprises ou de particuliers".

Il se montre cependant assez confiant concernant la croissance économique du pays, estimant que "le troisième trimestre devrait lui aussi se révéler meilleur que prévu", après le retour surprise de la croissance au deuxième.

Dans ces conditions, l'estimation d'une chute du PIB allemand de 6% envisagée pour 2009 lui semble désormais erronée et que l'Allemagne a traversé le pire de la crise. Cependant, la montée annoncée du chômage, lorsque les mesures de chômage partiel prendront fin, va peser sur la consommation et ralentir le rythme de la reprise, selon ses déclarations.

la situation économique fait chuter les marchés

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les places boursières ont marqué dans leur ensemble un fort repli. La chute des indices occidentaux a suivi celle des marchés asiatiques qui avait eu lieu durant la nuit de dimanche à lundi et qu'on explique notamment par les résultats décevants d'entreprises chinoises ainsi que par le resserrement du crédit en Chine également. Comme certains se demandaient si la forte hausse constatée sur les dernières semaines était justifiée, alors même que le consommateur américain, moteur de la reprise économique, avait par deux fois inquiété les marchés la semaine passée (ventes de détail et indice Michigan), cela a été l'occasion pour les investisseurs de passer à la vente.

Le retour des inquiétudes concernant la situation économique a pesé sur l'ensemble des bourses mondiales. En France, le CAC40 a cédé 2,16% à 3.419,69, plus de 100 points en dessous de la clôture de jeudi. A Wall Street, les principaux indices trébuchent également puisque le Dow Jones perd 2% à 9.135,34 points tandis que l'indice technologique Nasdaq se déprécie de 2,75% à 1.930,84 points. Aux Etats-Unis, alors que les faillites bancaires ne cessent pas, le groupe de crédit CIT, qui essaie d'éviter la mise en faillite, a publié une nouvelle perte semestrielle de 1,62 milliard de dollars. Néanmoins, cette nuit, le Nikkei s'est légèrement rétabli après la dégringolade de la veille et a fini sur une modeste hausse de 0,13%.

Sur le Forex, les devises risquées se sont un peu repris durant la nuit. Ainsi l'euro/dollar repasse au-dessus des 1,41, en gain de 50 "pips" depuis hier. Même chose pour le "cable" qui frôle ce matin 1,64 après être passé sous 1,63 hier. Elles se renforcent également face au yen puisque l'euro est repassé au-dessus des 134 yens tandis que la livre s'échange actuellement conte 156,75 yens.

Aujourd'hui, les investisseurs connaîtront l'indice des prix à la consommation en Grande-Bretagne. En Europe seront publiés le sentiment économique ZEW de l'Allemagne et de la zone euro. A 14h30, on connaîtra le nombre de permis de construire accordés et de mises en chantier aux Etats-Unis ainsi que l'indice des prix à la production américain. Sur le plan des résultats, on connaîtra ceux de Hewlett-Packard.

Tendance du jour : CAC40 - Nous pensons que, comme en Asie, l'indice parisien va se reprendre aujourd'hui après avoir dégringolé. On se met donc long à 3.410 avec pour objectif 3.460 puis 3.480. Néanmoins ce scénario sera invalidé si le cours passe sous les 3.390. On fera également attention aux chiffres américains cet après-midi.

Choisir votre Forex Broker

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Le meilleur conseil que je puisse vous donner est de vous conduire comme un patron interviewer un employé potentiel. Cet employé sera de décision importante de votre avenir financier (ou l'absence de celui-ci) et il est donc de la plus grande importance que vous poser les bonnes questions. Cette décision ne peut être prise à la légère comme cela doit être bien pensée. Je interview (plus comme grill) au moins 5 courtiers potentiels avant de prendre les deux derniers.

Lors du choix d'un courtier de change, il ya beaucoup de facteurs à prendre en compte.

- Trust

- Expérience

- Références de clients précédents

- Niveau de réussite

- Montant de l'avis à donner

- Convenience

- Montant de la marge offerte

- Vitesse

Tous les ci-dessus sont bien sûr importantes. Dans toute transaction financière, il est important de faire confiance au courtier vous travaillez avec. Cette confiance est recueilli par le niveau d'expérience du courtier. Bien sûr, il ya quelques nouveaux courtiers départ qui sont tout à fait digne de confiance, mais la plupart des gens préfèrent travailler avec un courtier expérimenté. C'est pour cette raison que la plupart des nouveaux courtiers se joindre à une entreprise où ils peuvent être encadrés et acquièrent de l'expérience.

Références de clients précédents sont importantes. Si votre courtier a aidé quelqu'un d'autre est couronnée de succès dans le passé et que personne n'est disposé à parler pour lui, qui en dit long. Vous pouvez mesurer le degré de réussite de votre courtier a, en parlant avec les anciens clients et de voir comment ils travaillent avec ce courtier. Ensuite, jetez un oeil à la quantité de conseils de votre courtier est prêt à vous donner. Bien sûr, vous prendre vos propres décisions et ne sera jamais une autre personne de prendre la parole pour tout, mais il est bon d'avoir une connaissance de travailler avec, et des conseils d'un courtier d'expérience est le facteur clé de l'information in Convenience est également impuissant. Si vous habitez en Californie, puis de l'Ohio courtier n'est peut-être pas le meilleur choix. Mais dans l'ère de l'Internet, ce facteur est devenu moins pertinent. Avec le fax et e-mail où vous et votre courtier en direct est devenu moins important.

Le montant de la marge offerte est important. Marge de levier est utilisé pour votre argent. Le courtier qui vous donne une marge de 50 à plus de valeur que celui qui vous donne 20 pour un. Et bien sûr la vitesse. Est-ce que votre courtier rapide? Est-ce qu'il retour des appels téléphoniques et les e-mails rapidement? Si oui, peut-être vous permet de travailler avec lui.

Votre courtier et de conseiller de confiance ba quelqu'un que vous avez mai pour travailler avec les années à venir, afin de choisir avec soin la relation. Demandez à des amis et connaissances qui sont actifs dans ce forex trading broker qu'ils utilisent et comment ils se sont rencontrés. Il est fort possible que vous pouvez obtenir une référence d'un ami ou une connaissance qui vous avez confiance et à acquérir un bon courtier forex cette façon.

Un autre bon moyen de trouver un courtier de change est d'aller en ligne. Il existe des forums de messages, chat, email et par le biais de groupes de portails comme Yahoo, Google et MSN qui contient une mine d'informations. Obtenir sur l'une de ces communautés en ligne et demander à d'autres personnes pour obtenir des conseils est la voie que de nombreuses personnes ont trouvé leur courtier. Si un courtier a plusieurs clients dans une communauté en ligne qui sont heureux avec ce qu'il a accompli pour eux, alors que c'est une bonne indication que vous pourriez être heureux avec lui. Profitez du nombre de personnes qui sont sur l'Internet et de s'affilier à certaines de ces communautés en ligne. Poser une question et vous aurez sans doute beaucoup apprendre de l'expérience que d'autres personnes ont eu. Également trouver des revues, des magazines et des É-zines pour vous abonner à. Lisez autant que vous le pouvez sur le sujet de forex trading avant de passer en elle. Devenez un client à puce intelligentes et commerçant.

Trouver un courtier de change, c'est un travail en soi. Lorsque vous visitez avec un courtier de change, en substance, vous êtes conduit une entrevue d'emploi pour déterminer si tel est le courtier que vous souhaitez gérer vos affaires financières, de façon être exhaustif. Posez beaucoup de questions. Demandez des références. Ne pas être timide. Vérifiez aussi avec d'autres personnes dans le bureau du courtier et de voir si vous voulez leur faire confiance pour remplir à votre courtier si il ne sont pas disponibles. Et, si le courtier est prêt à vous offrir une démo de compte à utiliser pour obtenir dans une certaine pratique avant d'effectuer un investissement. Si le courtier est en mesure de le faire et vous encourage donc, cela signifie que le courtier veut instruits et clients n'est pas seulement pour l'argent rapide. Voir ce type de formation et de tutorat le courtier est prête à offrir. Un bon courtier vous propose de répondre à vos questions et vous aider dans le processus d'apprentissage.

signes encourageants pour une économie encore bien fatiguée

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La nette amélioration de l’activité industrielle autour de New York publiée lundi est un signe supplémentaire d’une certaine stabilisation de l’économie américaine, mais Washington juge utile de continuer de soutenir l’activité pendant plusieurs mois encore.

“Pour la première fois en beaucoup plus qu’un an, l’enquête Empire State montre que les conditions des entreprises industrielles de l’Etat de New York se sont améliorées”, écrit la Banque de Réserve fédérale (Fed) de New York dans le communiqué rendant compte de son baromètre industriel mensuel.

Cet indice industriel Empire State s’est établi nettement dans le vert, avec un rebond beaucoup plus fort que prévu, pour se hisser à +12,1 en août, contre -0,55 le mois précédent, et alors que les analystes l’attendaient à +3,0 seulement.

C’est son plus haut niveau depuis novembre 2007, le mois ayant précédé l’entrée officielle des Etats-Unis dans la récession.

Pour Ryan Sweet, économiste de Moody’s Economy.com, l’enquête de la Fed de New York laisse penser que la reprise de l’activité industrielle, dont le déclin avait commencé bien avant le début officiel de la récession, “gagne en puissance”.

Selon d’autres chiffres publiés lundi, par le département du Trésor, la balance des capitaux à long terme des Etats-Unis a bénéficié d’un net afflux de capitaux publics et privés vers les titres américains, en particulier les obligations du Trésor et les actions d’entreprises.

Pour l’économiste Brian Bethune, économiste de l’institut IHS Global Insight, c’est le signe que “la demande de base pour les titres américains reste plutôt vigoureuse”, ce qui devrait contribuer à aider la reprise.

Attendue majoritairement d’ici à la fin du mois de septembre, celle-ci s’annonce longue et très fragile, et plusieurs autres indicateurs publiés récemment témoignent que la première économie mondiale ne sortira pas du jour au lendemain de sa récession la plus violente de l’Après-Guerre.

La publication d’une nouvelle baisse des ventes de détail la semaine précédente est venu ainsi rappeler que la consommation des ménages, locomotive de la croissance américaine, était encore loin d’avoir relevé la tête.

La Banque centrale en a bien conscience. Si elle a jugé le 12 août que l’économie semblait “en train de se stabiliser”, elle n’en a pas moins laissé intact son dispositif exceptionnel de soutien à la liquidité et au crédit et a signifié son intention de maintenir encore longtemps son taux d’intérêt quasi-zéro, en vigueur depuis le mois de décembre, pour accompagner la reprise.

De concert avec le Trésor, elle a annoncé lundi la prolongation d’un programme de soutien à la consommation et à l’immobilier, jusqu’au milieu de l’année 2010. Cette facilité, qui arrivait à échéance à la fin de l’année, a pour but de relancer le crédit à la consommation et le marché immobilier en offrant un financement avantageux à des investisseurs prêts à acheter des titres adossés à des actifs, grâce auxquels les organismes de crédit se refinancent.

Comme une bonne part de la reprise dépendra de la tenue de la consommation, les autorités peuvent encore se faire du souci : le moral des consommateurs est retombé en août, et un sondage publié lundi par le quotidien USA Today montre que 57% des Américains jugent que le plan de relance budgétaire promulgué il y a six mois par le président Barack Obama n’a aucun effet sur l’économie ou empire les choses.

Mais il est vrai que pour l’instant, les ménages ont plutôt eu tendance à épargner les subsides qu’ils ont reçu du gouvernement.

L euro ??

L'euro est une monnaie de réserve et de transaction mondiale. Cette situation le rend vulnérable aux risques de faux monnayage. Avec 417 000 faux billets en euro saisis au premier semestre 2009, contre 354 000 au second semestre 2008, c'est une hausse spectaculaire de 17% (et de 30% en un an) qu'a récemment révélée la Banque centrale européenne, qui estime tout de même à 12,5 millions le nombre de faux billets en circulation.

Attention aux petites coupures
Première tendance dans ces saisies : aucun nouveau type de contrefaçon n'a été détecté. La hausse du nombre de faux billets est donc exclusivement imputable à une plus large distribution des types déjà connus par le centre d'analyse de la Banque centrale. D'après ces statistiques, les billets les plus contrefaits restent très majoritairement les 20-euros (48,5%) et les 50-euros (34%).

Enfin, si l'on en croit la BCE, ce chiffre reste très modeste si on le rapporte au nombre total de billets en circulation (12,5 milliards). Néanmoins, il est certain que, pour les faussaires, il est très aisé de mettre en circulation des billets tirés à des milliards d'exemplaires et au dessin invariable dans le temps. La quantité de faux dollars en circulation en est la preuve. Certains pays de la zone euro, dont, avant 2001, la monnaie nationale, très "confidentielle", n'avait jamais été contrefaite, se découvrent victimes.

La police plus pessimiste que la BCE
Pourtant, si l'on en croit les informations transmises par les services de police lors des saisies significatives, d'une part les quantités sont beaucoup plus importantes que celles qui ont été signalées par la BCE et, d'autre part, les coupures contrefaites découvertes sont presque toujours supérieures ou égales à 100 euros.

C'était ainsi le cas, en juillet 2009, lorsqu'un réseau de faux-monnayeurs a été démantelé en Bulgarie. Les dix-sept personnes arrêtées étaient soupçonnées d'avoir écoulé 16 millions de faux euros dans toute l'Europe.

Selon Interpol, "les fausses coupures de 100, 200 et 500 euros imprimées par le groupe criminel ont été écoulées principalement en Belgique, en France, en Allemagne, en Grèce, aux Pays-Bas et en Espagne, mais ont impliqué toute l'Union européenne".

Au total, le groupe est soupçonné d'avoir mis en circulation 82 000 fausses coupures de bonne qualité, qui portaient toutes des numéros différents. Ce fut également le cas au mois d'avril en Pologne. Ne peut-on, dès lors, craindre que les chiffres officiels et les billets retirés ne reflètent qu'une faible partie de la fausse monnaie en circulation ?

La filière colombienne
Depuis 2005, l'Union européenne a confié à Europol la coordination de la lutte contre la contrefaçon des euros, ce qui a motivé la création du CCIS (Currency Counterfeiting Image System). C'est le département criminalité organisée qui a reçu la responsabilité de cette unité et a créé un fichier d'analyse (AWF), nommé Soya. Grâce à ce fichier, de nombreuses saisies ont été réalisées au-delà des frontières de l'Union, en particulier en Colombie.

Le 28 août 2008, la police colombienne démantelait à Bogotá une imprimerie qui avait déjà fabriqué 12 millions de faux billets de 500 et 200 euros. En septembre, deux nouvelles imprimeries sont découvertes : l'une, qui produit des billets de 20 000 pesos et des coupures de 100 euros, l'autre, spécialisée dans les 20-euros.

En novembre, outre une production de faux 50-euros, c'est tout un stock d'hologrammes prêts à être apposés qui a été découvert. Il ne semble pas que des liens entre ces officines et le trafic de cocaïne aient été établis, mais cette "proximité" reste troublante ! Arme ultime contre cette recrudescence de fausses coupures, la Banque centrale européenne planche en ce moment, dans la plus absolue confidentialité, sur la fabrication de nouveaux billets en euros, qui pourraient être progressivement mis en circulation à partir de l'année prochaine.

L'aspect général restera le même, mais de nouveaux signes de sécurité devraient y être ajoutés et la carte de l'Europe qui y figure devrait, comme cela a été fait pour les pièces, inclure les derniers pays adhérents. En attendant, la vigilance reste de mise !

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Les faussaires préfèrent l'euro

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Il y a de plus en plus de faux billets en euros qui circulent... Si l'on en croit le site Moneyweek, cela s'explique facilement: les euros sont tirés à des milliards d'exemplaires, et leur apparence ne change pas. Du pain bénit pour les faussaires, même si, comparé au nombre total de billets en circulation, le nombre de faux reste très modeste.

L'euro est une monnaie de réserve et de transaction mondiale. Cette situation le rend vulnérable aux risques de faux monnayage. Avec 417 000 faux billets en euro saisis au premier semestre 2009, contre 354 000 au second semestre 2008, c'est une hausse spectaculaire de 17% (et de 30% en un an) qu'a récemment révélée la Banque centrale européenne, qui estime tout de même à 12,5 millions le nombre de faux billets en circulation.

Première tendance dans ces saisies : aucun nouveau type de contrefaçon n'a été détecté. La hausse du nombre de faux billets est donc exclusivement imputable à une plus large distribution des types déjà connus par le centre d'analyse de la Banque centrale. D'après ces statistiques, les billets les plus contrefaits restent très majoritairement les 20-euros (48,5%) et les 50-euros (34%).

Enfin, si l'on en croit la BCE, ce chiffre reste très modeste si on le rapporte au nombre total de billets en circulation (12,5 milliards). Néanmoins, il est certain que, pour les faussaires, il est très aisé de mettre en circulation des billets tirés à des milliards d'exemplaires et au dessin invariable dans le temps. La quantité de faux dollars en circulation en est la preuve. Certains pays de la zone euro, dont, avant 2001, la monnaie nationale, très "confidentielle", n'avait jamais été contrefaite, se découvrent victimes.

la banque centrale baisse ses taux de 50 points de base

La banque centrale de Turquie a baissé mardi ses taux directeurs de 50 points de base et envisage de nouvelles baisses pour favoriser la relance de l'économie du pays fortement touchée par la récession.

Le taux d'emprunt est passé à 7,75% et le taux de prêt à 10,25% a indiqué le comité de politique monétaire de l'établissement.

"Le comité (...) envisage que d'autres mesures de baisse seront nécessaires à court terme à moins d'une robuste reprise de l'activité économique, a précise la banque centrale.

L'économie turque qui connaissait dans le passé une forte croissance s'est contractée de 13,8% au premier trimestre de cette année, après un repli de 6,2% au dernier trimestre de 2008.

Le gouvernement turc a prévu pour cette année une récession de 3,6% mais le FMI, qui négocie actuellement une aide financière avec Ankara, prévoit pour sa part une contraction de 5%. Les pourparlers ont pris du retard mais un accord est attendu pour septembre