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jeudi 13 août 2009

le dollar recule après des annonces de la Fed

New York (awp/afp) - Le dollar a finalement reculé face à l'euro à la suite de la réunion de la Réserve fédérale américaine, qui a annoncé une prolongation de son programme de rachats de bons du Trésor, après avoir dans un premier rebondi au moment des annonces.

Vers 21H00 GMT (23h00 HEC), l'euro remontait face au dollar, à 1,4191 dollar, contre 1,4150 mardi soir, et face à la monnaie nippone à 136,38 yens contre 135,86 la veille.

Le billet vert était en petite hausse face au yen, à 96,09 yens contre 95,99 yens la veille.

"Il y a eu une réaction initiale de raffermissement du dollar, le marché interprétant le communiqué de la Fed comme une sortie de la politique d'assouplissement quantitatif. Puis le marché des changes s'est retourné en voyant le marché boursier progresser fortement", a constaté Jessica Hoversen, de MF Global.

En attendant la fin de la réunion de la Réserve fédérale américaine, l'euro s'était affiché en nette hausse, au-dessus de 1,42 dollar. La tendance s'est inversée ensuite pendant quelques minutes qui ont suivi la publication du communiqué de la banque centrale.

Celle-ci a annoncé mercredi qu'elle maintenait son taux directeur dans sa fourchette de fluctuation de 0 à 0,25% et jugé que l'activité économique semblait être "en train de se stabiliser", et ajouté qu'elle prolongeait d'un mois son programme de rachat de bons du Trésor, jusqu'à octobre.

Il y a deux interprétations au fait que le dollar a vite abandonné les quelques gains empochés après ces annonces, selon Jessica Hoversen.

"Cela pourrait être juste le marché regardant la corrélation avec le S&P 500 et favorisant les monnaies à fort rendement (la hausse des marchés boursiers poussant à prendre plus de risques, ndlr). Ou alors le fait que le marché est inquiet de la détermination du gouvernement à dépenser, et quant à la capacité du Trésor à financer son déficit", a expliqué l'analyste.

Antonio Sousa, responsable de la stratégie chez Forex Capital Markets, estimaient toutefois que les mesures annoncées pourraient être favorables à la monnaie américaine.

"A l'avenir, la fin de l'assouplissement quantitatif va vraisemblablement encourager une remontée des rendements des bons du Trésor, et apporter du soutien au dollar", a souligné l'analyste.

La livre sterling est restée sous pression face à l'euro, après le rapport trimestriel sur l'inflation de la Banque d'Angleterre (BoE). La banque centrale britannique a jugé dans ce rapport que "l'accès au crédit devrait rester difficile", et que si l'économie devait recommencer à croître lentement dans les trimestres qui viennent, le rythme et le calendrier de cette reprise demeuraient "très incertains".

Vers 21H00 GMT, la livre sterling baissait face à la monnaie européenne à 86,09 pence pour un euro, mais se stabilisait face au billet vert à 1,6483 dollar pour une livre.

La monnaie helvétique baissait un peu face à l'euro à 1,5293 franc suisse pour un euro, comme face au dollar à 1,0771 franc suisse pour un dollar.

La monnaie chinoise a fini à stable, à 6,8351 yuans pour un dollar, au même niveau que mardi soir.

Cours de mercredi Cours de mardi

21H00 GMT 21H00 GMT

EUR/USD 1,4191 1,4150

EUR/JPY 136,38 135,86

EUR/CHF 1,5293 1,5307

EUR/GBP 0,8609 0,8585

USD/JPY 96,09 95,99

USD/CHF 1,0771 1,0815

GBP/USD 1,6583 1,6478

les chiffres du chômage US

Les chiffres mensuels du chômage US, publiés vendredi dernier, ont été présentés comme une très bonne nouvelle, pourtant, ils montrent également que la reprise tant attendue continuera à se faire désirer pendant de nombreux mois...

Selon le rapport mensuel publié aujourd’hui par le département du travail US, l’économie américaine n’aurait supprimé que 247.000 emplois (excusez du peu !) au cours du mois de juillet...

C’est certes bien moins qu’en juin, où les destructions de postes avaient atteint 443.000, et moins que les prévisions, qui tablaient sur 325.000 emplois détruits, mais il ne faut pas oublier que ces chiffres dénoncent avant tout une non-amélioration du marché de l’emploi US. Une baisse reste une baisse, même si celle-ci ralentit.

Au total, le taux de chômage atteint donc 9,4% à la fin du mois de juillet, ce qui représente 14,462 millions de demandeurs d’emplois. 6,7 millions d’emplois ont ainsi été détruits aux Etats-Unis depuis décembre 2007.

De plus, le département au travail US note que le chômage de longue durée est toujours en hausse, avec 5 millions d’américains qui recherchent un emploi depuis 6 mois ou plus, et 8,8 millions de personnes qui travaillent à temps partiel, alors qu’elles souhaiteraient travailler à temps plein.

Mais il est vrai que certains signes sont encourageants, à défaut d’être enthousiasmants, comme par exemple le fait que la moyenne des emplois détruits chaque mois de mai à juillet représente environ la moitié de la moyenne mensuelle constatée de novembre à avril (331.000 contre 645.000). Le président américain Barack Obama note d’ailleurs que ces chiffres sont ’’une preuve de plus que nous nous éloignons du spectre d’une dépression’’, se félicitant également d’avoir ’’évité le pire au système financier’’, et estimant que non seulement l’économie a été sauvée de la catastrophe, mais que les nouvelles bases de la croissance ont été posées...

Sauf que la Maison Blanche prévoit également que le chômage continuera de progresser, pour dépasser les 10%, et que la situation ne s’améliorera pas avant de nombreux mois. On comprend donc facilement que même si la progression du chômage ralentit, l’amélioration de la conjoncture est encore loin, dans la mesure où la consommation est le principal moteur de la croissance aux Etats-Unis... Et si les ménages US n’ont pas de travail, comment vont-ils pouvoir recommencer à consommer ? Surtout quand on sait que les américains semblent avoir tiré les conclusions de la crise, et commencent à épargner de plus en plus plutôt que de contracter crédit sur crédit...

Le climat économique devrait donc rester rude pour les prochains mois. Les opérateurs sur le Forex ne s’y sont d’ailleurs pas trompés, avec une fort rebond du Dollar suite à la publication des chiffres du chômage. Le rôle de valeur refuge du billet vert retrouve donc de l’attrait, ce qui est bien la preuve que même si les statistiques d’aujourd’hui ont été présentées comme une bonne nouvelle, les investisseurs ne sont pas dupes, et comprennent bien que les temps seront durs pour encore un moment...

Action AXA 2010

axa 70  Action AXA : Goldman Sachs retire la valeur de sa Conviction Sell List mais reste prudent sur le titreGoldman Sachs a retiré Axa de sa Pan-European Conviction Sell List.

Il conserve toutefois sa recommandation Vendre sur le titre, et maintient son objectif de cours de 12 euros. Le broker ne voit pas de catalyseurs négatifs à court terme sur le titre. Il demeure toutefois inquiet concernant le bilan de l’assureur et sa capacité à générer des bénéfices à court terme. Goldman Sachs reconnaît toutefois que les risques sont atténués avec l’amélioration des marchés actions et de l’environnement économique.

(Avec Agence Option Finance AOF)

un broker en discution sur le forex

Voilà je dispose d'un compte-titre chez un broker spécialisé sur le marché US mais ce dernier n'est pas "super compétitif" pour les ordres sur le marché européen.



J'envisage donc d'ouvrir un compte-titre chez un broker européen et j'ai déjà passé des entretiens avec quelques conseillers financiers... mais je me dis que rien ne vaut le retour d'utilisateurs, d'où l'intitulé du sujet:



Quel e-broker me conseilleriez-vous?









Pour info: Actuellement je passe des ordres d'approx. EUR 3000 pour une fréquence de 6 à 12 ordres par mois.

alerte sur un net ralentissement de la croissance

Une question, un commentaire...

UBSDe source de marché, entre 2003 et 2006, la France a été le seul marché d’importance en Europe à connaître une croissance à deux chiffres dans le secteur de l’assurance vie, affirment les analystes d’UBS. Mais en 2007, cette progression s’est fortement ralentie et le broker suisse estime que la situation devrait se prolonger. En 2008 et 2009, il prévoit un “terne” taux de croissance de 3 à 4%, résultat des pressions subies par les ventes des fonds diversifiés et d’une demande limitée en ce qui concerne les retraites complémentaires.

Dans ces conditions, Axa fait figure de valeur favorite pour le bureau d’études. UBS juge que le marché a négligé la croissance des activités d’Axa dans l’assurance dommage et son cash flow solide.

En revanche, le broker est passé à une opinion Neutre avec un objectif de cours de 92 euros, contre 97 auparavant sur le titre CNP Assurance. Le broker suisse estime que les difficultés actuelles du marché de l’assurance le contraignent à se montrer prudent face à la politique d’acquisitions à l’étranger de CNP. Selon lui, l’assureur devrait connaître des résultats mitigés sur le marché de l’assurance vie dans les prochains mois et souffrir du ralentissement des ventes de ses fonds diversifiés.

a usa la banque centrale maintient son taux

La banque centrale des Etats-Unis (Fed) a décidé mercredi de maintenir son taux directeur proche de zéro et de rester mobilisée dans son soutien à l’économie américaine, préférant jouer de prudence même si l’activité semble “en train de se stabiliser”.

Comme la Banque centrale européenne (BCE) la semaine précédente, la Réserve fédérale a décidé de ne pas toucher à son taux directeur. Celui-ci reste à un niveau historiquement bas, confiné dans la marge de fluctuation de 0 à 0,25% qui lui est assignée depuis le mois de décembre.

Les informations depuis la réunion précédente en juin “laissent penser que l’activité économique est en train de se stabiliser”, écrit le Comité de politique monétaire (FOMC) de la Réserve fédérale dans un communiqué publié à l’issue de deux jours de réunion à Washington.

La Bourse de New York, pour qui le maintient du taux directeur de la Fed ne faisait aucun doute, est restée en forte hausse après ce message, saluant un petit signe d’optimisme de la banque centrale. Les conclusions restent néanmoins quasi identiques à celles de juin.

La Fed semble en effet prendre soin de ne pas susciter d’espoirs exagérés qui risqueraient de compromettre la reprise, attendue pour le trimestre en cours, et même peut-être déjà en marche.

“Les conditions sur les marchés financiers se sont de nouveau améliorées ces dernières semaines”, et les dépenses des ménages, vitales pour l’économie américaine, “ont continué à montrer des signes de stabilisation”, reconnaît-elle.

Néanmoins, ajoute le FOMC, celles-ci restent “contraintes par la poursuite des pertes d’emplois, une croissance très lente du revenu, une baisse du patrimoine immobilier, et un crédit restreint”.

Et, comme en juin, le Comité juge que “les conditions économiques vont probablement garantir des taux extrêmement bas pour le taux de l’argent au jour le jour pendant une longue période”. La hausse des taux ne s’annonce donc toujours pas.

Les Etats-Unis sont entrés en récession en décembre 2007. Les chiffres (encore provisoires) du PIB publié fin juillet montrent que l’activité américaine a reculé pour le quatrième trimestre de suite au printemps, mais que cette baisse a fortement ralenti pour n’atteindre que 1,0% en rythme annuel, après une chute de 6,4% pendant l’hiver.

Mais le pays n’est pas tiré d’affaire, semble dire la Fed. Elle a maintenu en place son dispositif contre la crise, qui mobilise des centaines de milliards de dollars pour continuer d’”améliorer les conditions globales sur les marchés du crédit”.

Plus spécifiquement en ce qui concerne son programme de rachat de 300 milliards de dollars d’obligations à long terme du Trésor américain, la Fed indique qu’elle va “ralentir le rythme” de ses achats afin de l’achever fin octobre et non plus fin septembre, pour permettre “une transition en douceur sur les marchés au moment où ces achats de titres” s’achèveront.

Contesté par certains membres du FOMC, ce programme avait pour but de faire baisser fortement les taux d’intérêts à long terme afin de permettre, entre autres, une reprise du marché immobilier par lequel la crise est arrivée.

Ses effets ont été contrés en partie par le fort besoin de financement de l’Etat américain pour assurer ses mesures de relance, et la Fed ne devrait pas étendre sa portée.

Elle a redit en revanche qu’elle était prête à acheter d’autres titres sur les marchés si la situation l’imposait.

des crédits immobiliers a progressé

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(c) Reuters Les banques françaises ont continué pour la plupart de resserrer leurs critères d'attribution des crédits au deuxième trimestre, mais dans des proportions plus limitées qu'aux trimestres précédents, selon une étude publiée par la Banque de France. /Photo d'archives/REUTERS/Thierry Roge
Les banques ont-elles rouvert le robinet du crédit ? Un tout petit peu… Le volume des crédits immobiliers aux particuliers a progressé de 0,5 % au premier semestre 2009, selon les derniers chiffres publiés par la Banque de France. A fin juin, le montant des prêts immobiliers atteignait 713,4 milliards d’euros, contre 710 milliards fin 2008. En progression de 0,5 % également sur un mois, le volume des crédits affiche une augmentation de 4,6 % en comparaison annuelle, par rapport aux 681,7 milliards de la fin juin 2008. Mais les banques restent cependant très prudentes, malgré les demandes du Gouvernement et de la Banque centrale européenne : le volume des crédits aux entreprises affiche un repli de 1,2 % sur le semestre. Tous segments confondus, l’encours de crédits a reculé de 0,4 % au cours des six premiers mois de l’année, à 2 006,2 milliards d’euros.

Danemark: la Banque centrale

La Banque centrale danoise a abaissé son taux directeur de 0,1 point de pourcentage à 1,45%, a-t-elle annoncé jeudi dans un communiqué.

"Le taux directeur de la Banque nationale est abaissé de 0,1 point de pourcentage à 1,45% à compter du 14 août 2009", précise la Banque dans le communiqué.

Le taux directeur était de 1,55% depuis le 8 juin.

"La baisse (du taux) est une conséquence de l'achat de devises étrangères sur le marché", explique le communiqué, ce qui signifie que la couronne danoise a tendance à s'apprécier par rapport à l'euro et que la banque centrale doit en vendre pour la maintenir près de son cours pivot.

Le Danemark, qui ne fait pas partie de la zone euro, est lié par un accord monétaire-bis autorisant la couronne à fluctuer de 2,25% autour d'un taux pivot par rapport à l'euro.

La banque centrale danoise suit le plus souvent les décisions de la BCE (qui vient de laisser son principal taux directeur inchangé à 1%), mais sa politique monétaire avait nettement divergé à l'automne dernier, quand la crise financière avait pesé sur les devises nordiques, contraignant la banque centrale du royaume nordique à remonter nettement son taux.

Le taux directeur avait été porté jusqu'à 5,5% fin octobre, avant d'être progressivement diminué.

Par ailleurs, la banque diminue de 0,1 point de pourcentage son taux sur les certificats de dépôt, à 1,35%, tandis que les taux d'escompte et folio baissent également de 0,1 point à 1,10%, a-t-elle annoncé jeudi.