Day Trading Mastery Course Information

lundi 27 avril 2009

Les Opérations sur Marge

Négocier sur marge sur le marché des devises n’est pas aussi difficile que certains le laissent penser. Voici la meilleure façon d’aborder ce type de transaction : Lorsqu’un trader négocie sur marge, il utilise une franchise à court-terme accordée par l’institution offrant la marge pour acheter une certaine quantité de devises qui excède de beaucoup la valeur de son compte.

Prenons l’exemple suivant: Le trader X a un compte de 50'000 € auprès d’ACM. Il négocie un stock de devises de l’ordre de 1'000'000 €/$ US. Cela équivaut à un ratio de garantie de 5 % (50'000 représente 5 % de 100'000). Comment le trader peut-il négocier 20 fois la somme d’argent qu’il a à sa disposition ? La réponse est qu’ACM/FX-Office lui donne provisoirement le crédit nécessaire pour effectuer la transaction qui l’intéresse. Sans marge, le trader X ne pourrait vendre ou acheter que des lots de 50'000 € à la fois. Sur les comptes standards, ACM/Fx-Office applique des ratios de garantie de 1 %. En opérant avec ACM/FX-Office, le trader X peut donc effectuer des transactions jusqu’à concurrence de 5'000'000 € en une seule fois.

Les marges servent de nantissement pour couvrir toute perte qui pourrait subvenir. Puisque rien n'est vendu ou acheté comptant, la seule exigence et le véritable objectif pour avoir des fonds sur votre compte, sont de maintenir une marge suffisante. L'exigence de marge que propose ACM/Fx-Office reflète notre volonté de permettre aux traders d'adopter le niveau de risque de leur choix. Cependant, nous ne recommandons pas d'effectuer des transactions en utilisant la capacité totale de 1%, car cette option engagerait trop de risque. Finalement le choix est laissé au trader, d'effectuer des transactions, au niveau de risque qui le satisfait.

Les principes pour opérer sur le marché des changes

1. Le marché du Forex permet le trading en continu,
24 heures/24 de n'importe quel point de la planète.Les négociations commencent chaque jour à Sydney pour se poursuivre à Tokyo, en Europe et enfin aux Etats-Unis...

2. Le Forex présente des opportunités de Trading illimités:
Ses cotations en continu intègrent en pemanence toutes les nouvelles du marché et il n'est pas soumis aux effets d'annonces de résultats ou commentaires d'analystes hors séance.

3. Le Forex présente des règles de liquidités sans pareil:
Saviez-vous qu'il se traite par jour en moyenne plus de 1500 Milliards de Dollars sur ce marché soit 35 fois plus que sur l'ensemble des marchés Actions aux Etats-Unis.
Contrairement à bon nombre d'autres marchés, il n'est pas
"l'otage" d'un carnet d'ordres et bénéficie d'une largeur et d'une profondeur bien supérieure à n'importe quel instrument du marché des capitaux.Il est donc beaucoup plus fiable et transparent d'agir sur les variations des devises à travers le Forex qu'au moyen de produits dérivés tels que les Warrants par exemple.

4. Le Forex offre la possibilité d'utiliser l'Effet de Levier:
Le recours à l'utilisation du levier est davantage une conséquence de la faible variation entre les grandes devises comparé à celle des valeurs mobilères.Le levier signifie que vous pouvez amplifier vos gains en étant exposé à une position plus grande sur le marché que la somme que vous immobilisez. Bien sûr cela signifie aussi que vous êtes exposé à une perte supérieure à votre investissement initial.
Un dépôt de marge de 1ou 2% est le plus souvent suffisant pour ouvrir un compteet opérer sur le Forex; Ainsi, est-il permis d'opérer sur 100.000 USD avec un investissement initial minimum de seulement 1000 USD.

5. Le Forex permet d'opérer et de gagner dans les deux sens:
Vous pouvez acheter l'Euro contre le Dollar si vous pensez qu'il va s'apprécier ou Acheter le Dollar contre l'Euro si vous pensez le contraire. Cela fait de la flexibilité un des principaux traits et avantages évidents de ce marché.

jeudi 23 avril 2009

Forex


Les cross de devises majeures - L’EUR/USD

L’EUR/USD
Quelques particularités sur l’euro

L’euro a été introduit en tant que monnaie électronique dès le 1er janvier 1999
alors que les pièces et billets euro ont été mis en circulation à partir du 1er
janvier 2002. La politique monétaire européenne est dirigée par la BCE. Tout le
système monétaire européen est encore assez récent et ce manque de recul
empêche les intervenants de cerner les réactions de la BCE dans différentes
conditions de marché et face à différentes configurations économiques. De
plus, les tensions de plus en plus marquées entre les pays européens et les
décisions de la BCE sont source d’inquiétude pour les marchés. On accuse
notamment Jean-Claude Trichet de poursuivre une politique de l’euro fort qui
pèse sur les exportations européennes.
La monnaie européenne est cependant un succès indéniable. Les banques
centrales
détiennent une part croissante d’euros dans leurs réserves, ce qui
contribue à la baisse relative de l’importance du dollar au niveau international.
Avec l’élargissement européen et les prévisions d’entrée de nouveaux
membres dans la zone euro, de nombreuses devises européennes sont liées
de façon plus ou moins forte avec l’euro. Parmi elles, on trouve notamment :

– la lire maltaise (MTL) (passage à l’euro le 1er janvier 2008),
– la livre chypriote (CYP) (passage à l’euro le 1er janvier 2008),
– la couronne estonienne (EEK),
– le litas lituanien (LTL),
– la couronne danoise (DKK),
– le lat letton (LVL),
– le nouveau lev bulgare (BGN).

De nombreux commerces de ces pays pratiquent le double affichage
euro/monnaie nationale et autorisent les paiements dans les deux monnaies.
Le taux de change appliqué est alors très proche de celui du cours central
établi par le MCE II (nouveau Mécanisme de taux de Change Européen, mis
en place après l’introduction de l’euro).
D’autres devises, hors Union européenne, sont également liées à l’euro à
travers un taux de change, fixe ou variable, dont :
Les francs CFA BCEAO (XOF) ou BEAC (XAF)
L’escudo capverdien (CVE)
Le franc CFP (XPF)
Le mark de Bosnie-Herzégovine (BAM)
Le franc comorien (KMF)

Quelques particularités du dollar

Les politiques liées au dollar sont menées par la FED. Celle-ci est très indépendante
du gouvernement américain puisque les membres du conseil de la
FED sont en place pour de longs mandats qui leur permettent de moins subir
les pressions des gouvernements successifs.
Comme nous l’avons vu précédemment, l’objectif principal est de maîtriser l’inflation
tout en favorisant la croissance économique. Pour cela, la FED utilise
deux outils principaux :

– les interventions directes sur le marché (Open Market Operations)
La FED effectue directement des achats ou ventes de bons du Trésor et de
bonds. Dans la pratique, des achats massifs de ce type de produits favorisent
la baisse des taux d’intérêt tandis que des ventes massives auront tendance
à les faire augmenter.

le taux d’intérêt cible (Federal Funds Target Rate)
C’est le taux d’intérêt d’emprunt que la FED offre aux banques qui lui sont liées.
Chaque annonce de taux est très suivie par les marchés ainsi que le discours
qui s’ensuit et qui donne des pistes pour les futures politiques à mettre en place.
Dans les faits et pour faire simple, la FED augmente ses taux pour maîtriser
l’inflation et les baisse pour relancer la croissance et la consommation.

Quant à la politique fiscale, qui concerne les dépenses publiques et la fixation
des impôts, elle est dirigée par le US Treasury. Son rôle est plus important
qu’on peut le penser car il possède l’autorité pour donner l’ordre à la banque
fédérale de New-York d’intervenir directement sur le marché des changes en
vendant ou achetant le dollar s’il considère que son taux de change est sur (ou
sous) évalué.

Le dollar est la devise la plus suivie et la plus traitée sur le marché des
changes. En réalité, le dollar est présent dans plus de 90 % du total des transactions
sur le Forex. Son poids est donc considérable, ce qui explique du
même coup l’importance des données chiffrées de l’économie américaine et
des divers rapports sur les mouvements des cours.
Mais ce poids tend à baisser au fil des ans avec, comme nous le disions, la
montée en force de l’euro en tant que monnaie de réserve dans les banques
centrales. Cette tendance devrait se poursuivre dans les années à venir, d’autant
plus qu’avec le relèvement progressif des taux d’intérêt en Europe, les
investissements en dollars deviennent de moins en moins lucratifs. À cela, il
faut ajouter certains événements qui ont entraîné une perte de confiance dans
la solidité de l’économie américaine : attentats du 11 septembre, guerre en
Irak… pour ne citer que ceux-là.
Une autre donnée à prendre en compte est le fait que de nombreuses devises
émergentes sont « peggées » avec le dollar. Ce qui signifie que leur taux de
change est fixe par rapport au dollar avec une autorisation de fluctuation au
sein d’une bande plus ou moins large. C’est le cas notamment pour de
nombreuses devises asiatiques dont le yuan. Il arrive parfois que des pressions
sur les marchés poussent les cours en dehors de ces bandes, ce qui
provoque des interventions immédiates sur les marchés pour rétablir les cours
au sein des bandes de fluctuation. Ces mouvements influencent énormément
le cours du dollar sur les marchés. Dans le cas des devises asiatiques, beaucoup
d’entres elles apparaissent sous-évaluées par rapport à l’économie et la
croissance de leur pays. Ces derniers seront certainement amenés dans le
futur à réévaluer progressivement leur monnaie ainsi qu’à diversifier leurs
réserves, impliquant un affaiblissement de leur dépendance face au dollar et
donc des ventes massives de dollars sur les marchés.

D’autres données doivent être prises en compte pour évaluer la valeur du
dollar sur le marché, nous citerons entre autres :

– les différentiels de taux entre les bons du trésor américain et les obligations
étrangères. En effet, les investisseurs auront tendance à placer leur argent
sur les produits offrant les meilleurs taux de rendement, ce qui implique de
forts mouvements sur le marché des devises compte tenu de la valeur
élevée du ticket d’entrée sur ce type de produits.
Le dollar Index : les banques centrales ont tendance à se fier à cet indice
pour évaluer la valeur globale du dollar sur les marchés plutôt que de se fier
uniquement à l’appréciation ou la dépréciation du dollar par rapport à telle
ou telle devise étrangère.

À noter, enfin, qu’il existe une forte corrélation entre le cours du dollar et celui
de l’or. Ce dernier évolue en général dans le sens contraire du dollar puisqu’il
est coté en dollars. En période d’incertitude sur les marchés, les investisseurs
se reportent sur l’or, considéré comme une valeur refuge, ce qui aura tendance
à affaiblir le dollar.

Généralités sur le couple EUR/USD

L’EUR/USD est de loin le cross de devises le plus traité. Il représentait plus de
28 % des volumes de transaction sur le marché des devises en 2006. Ces
volumes ne sont pas dus à l’importance des relations économiques entre la
zone euro et les États-Unis. En fait, et comme nous l’avons déjà vu précédemment,
sur le marché des changes, ce sont les spéculateurs qui dictent leurs
lois. Or, le cross EUR/USD est le plus liquide et le plus facile d’accès lorsque
l’on veut trader du dollar. De plus, de nombreuses informations et analyses
sont disponibles sur internet.
Les spéculateurs favorisent le cross EUR/USD lorsqu’ils ont une vision sur
l’évolution du dollar face au reste du monde. Si nous observons le cross
USD/JPY, il ne réagira pas exactement pareil que l’EUR/USD sur une nouvelle
affectant le dollar, uniquement car la composante yen du USD/JPY est également
très forte. D’ailleurs la plupart des intervenants voulant spéculer sur le
yen le feront via le USD/JPY et non pas via un autre cross où le yen est
présent.

Parallèlement à cela, le cross EUR/USD est aussi utilisé par les spéculateurs
qui ont une vision sur l’évolution de la devise européenne. En effet, les autres
cross contenant de l’euro ne réagissent pas du tout de la même manière que
face au dollar : l’EUR/GBP, EUR/CHF et l’EUR/JPY sont extrêmement
influencés par la devise de contrepartie. À noter aussi que parce que l’euro
est la devise de 15 pays (en incluant la Slovénie), toutes les nouvelles économiques
importantes affectant l’un de ces pays affectent l’euro et donc
l’EUR/USD. Cependant, il faut souligner que les politiques monétaires de la
FED et les nouvelles économiques provenant des États-Unis influencent bien
plus largement cette paire que les nouvelles provenant de l’économie européenne.
Enfin le cross EUR/USD est le point de rencontre entre les deux plus grandes
zones économiques de la planète. Il donne constamment la température
économique des deux zones et symbolise les différents intérêts et anticipations
de chaque intervenant sur le marché des changes.

forex on vedeo

Les cross de devises majeures - L’EUR/USD

Quelques particularités sur l’euro
L’euro
a été introduit en tant que monnaie électronique dès le 1er janvier 1999alors que les pièces et billets euro ont été mis en circulation à partir du 1erjanvier 2002. La politique monétaire européenne est dirigée par la BCE. Tout lesystème monétaire européen est encore assez récent et ce manque de reculempêche les intervenants de cerner les réactions de la BCE dans différentesconditions de marché et face à différentes configurations économiques. Deplus, les tensions de plus en plus marquées entre les pays européens et lesdécisions de la BCE sont source d’inquiétude pour les marchés. On accusenotamment Jean-Claude Trichet de poursuivre une politique de l’euro fort quipèse sur les exportations européennes.La monnaie européenne est cependant un succès indéniable. Les banquescentrales détiennent une part croissante d’euros dans leurs réserves, ce quicontribue à la baisse relative de l’importance du dollar au niveau international.Avec l’élargissement européen et les prévisions d’entrée de nouveauxmembres dans la zone euro, de nombreuses devises européennes sont liéesde façon plus ou moins forte avec l’euro. Parmi elles, on trouve notamment :
– la lire maltaise (MTL) (passage à l’euro le 1er janvier 2008),– la livre chypriote (CYP) (passage à l’euro le 1er janvier 2008),– la couronne estonienne (EEK),– le litas lituanien (LTL),– la couronne danoise (DKK),– le lat letton (LVL),– le nouveau lev bulgare (BGN).
De nombreux commerces de ces pays pratiquent le double affichage euro/monnaie nationale et autorisent les paiements dans les deux monnaies.Le taux de change appliqué est alors très proche de celui du cours centralétabli par le MCE II (nouveau Mécanisme de taux de Change Européen, misen place après l’introduction de l’euro).D’autres devises, hors Union européenne, sont également liées à l’euro àtravers un taux de change, fixe ou variable, dont :Les francs CFA BCEAO (XOF) ou BEAC (XAF)L’escudo capverdien (CVE)Le franc CFP (XPF)Le mark de Bosnie-Herzégovine (BAM)Le franc comorien (KMF)
Quelques particularités du dollar
Les politiques liées au dollar sont menées par la FED. Celle-ci est très indépendantedu gouvernement américain puisque les membres du conseil de laFED sont en place pour de longs mandats qui leur permettent de moins subirles pressions des gouvernements successifs.Comme nous l’avons vu précédemment, l’objectif principal est de maîtriser l’inflationtout en favorisant la croissance économique. Pour cela, la FED utilisedeux outils principaux :
– les interventions directes sur le marché (Open Market Operations)La FED effectue directement des achats ou ventes de bons du Trésor et debonds. Dans la pratique, des achats massifs de ce type de produits favorisentla baisse des taux d’intérêt tandis que des ventes massives auront tendanceà les faire augmenter.
le taux d’intérêt cible (Federal Funds Target Rate)C’est le taux d’intérêt d’emprunt que la FED offre aux banques qui lui sont liées.Chaque annonce de taux est très suivie par les marchés ainsi que le discoursqui s’ensuit et qui donne des pistes pour les futures politiques à mettre en place.Dans les faits et pour faire simple, la FED augmente ses taux pour maîtriserl’inflation et les baisse pour relancer la croissance et la consommation.
Quant à la politique fiscale, qui concerne les dépenses publiques et la fixationdes impôts, elle est dirigée par le US Treasury. Son rôle est plus importantqu’on peut le penser car il possède l’autorité pour donner l’ordre à la banquefédérale de New-York d’intervenir directement sur le marché des changes envendant ou achetant le dollar s’il considère que son taux de change est sur (ousous) évalué.
Le dollar est la devise la plus suivie et la plus traitée sur le marché des changes. En réalité, le dollar est présent dans plus de 90 % du total des transactionssur le Forex. Son poids est donc considérable, ce qui explique du même coup l’importance des données chiffrées de l’économie américaine etdes divers rapports sur les mouvements des cours.Mais ce poids tend à baisser au fil des ans avec, comme nous le disions, lamontée en force de l’euro en tant que monnaie de réserve dans les banques centrales. Cette tendance devrait se poursuivre dans les années à venir, d’autantplus qu’avec le relèvement progressif des taux d’intérêt en Europe, les investissements en dollars deviennent de moins en moins lucratifs. À cela, ilfaut ajouter certains événements qui ont entraîné une perte de confiance dansla solidité de l’économie américaine : attentats du 11 septembre, guerre en Irak… pour ne citer que ceux-là.Une autre donnée à prendre en compte est le fait que de nombreuses devises émergentes sont « peggées » avec le dollar. Ce qui signifie que leur taux de change est fixe par rapport au dollar avec une autorisation de fluctuation ausein d’une bande plus ou moins large. C’est le cas notamment pour denombreuses devises asiatiques dont le yuan. Il arrive parfois que des pressionssur les marchés poussent les cours en dehors de ces bandes, ce qui provoque des interventions immédiates sur les marchés pour rétablir les coursau sein des bandes de fluctuation. Ces mouvements influencent énormémentle cours du dollar sur les marchés. Dans le cas des devises asiatiques, beaucoupd’entres elles apparaissent sous-évaluées par rapport à l’économie et lacroissance de leur pays. Ces derniers seront certainement amenés dans lefutur à réévaluer progressivement leur monnaie ainsi qu’à diversifier leurs réserves, impliquant un affaiblissement de leur dépendance face au dollar etdonc des ventes massives de dollars sur les marchés.
D’autres données doivent être prises en compte pour évaluer la valeur du dollar sur le marché, nous citerons entre autres :
– les différentiels de taux entre les bons du trésor américain et les obligations étrangères. En effet, les investisseurs auront tendance à placer leur argentsur les produits offrant les meilleurs taux de rendement, ce qui implique deforts mouvements sur le marché des devises compte tenu de la valeur élevée du ticket d’entrée sur ce type de produits.– Le dollar Index : les banques centrales ont tendance à se fier à cet indicepour évaluer la valeur globale du dollar sur les marchés plutôt que de se fieruniquement à l’appréciation ou la dépréciation du dollar par rapport à telle ou telle devise étrangère.
À noter, enfin, qu’il existe une forte corrélation entre le cours du dollar et celuide l’or. Ce dernier évolue en général dans le sens contraire du dollar puisqu’ilest coté en dollars. En période d’incertitude sur les marchés, les investisseursse reportent sur l’or, considéré comme une valeur refuge, ce qui aura tendanceà affaiblir le dollar.
Généralités sur le couple EUR/USD
L’EUR/USD
est de loin le cross de devises le plus traité. Il représentait plus de28 % des volumes de transaction sur le marché des devises en 2006. Cesvolumes ne sont pas dus à l’importance des relations économiques entre lazone euro et les États-Unis. En fait, et comme nous l’avons déjà vu précédemment,sur le marché des changes, ce sont les spéculateurs qui dictent leurslois. Or, le cross EUR/USD est le plus liquide et le plus facile d’accès lorsquel’on veut trader du dollar. De plus, de nombreuses informations et analysessont disponibles sur internet.Les spéculateurs favorisent le cross EUR/USD lorsqu’ils ont une vision surl’évolution du dollar face au reste du monde. Si nous observons le crossUSD/JPY, il ne réagira pas exactement pareil que l’EUR/USD sur une nouvelleaffectant le dollar, uniquement car la composante yen du USD/JPY est égalementtrès forte. D’ailleurs la plupart des intervenants voulant spéculer sur leyen le feront via le USD/JPY et non pas via un autre cross où le yen estprésent.
Parallèlement à cela, le cross EUR/USD est aussi utilisé par les spéculateursqui ont une vision sur l’évolution de la devise européenne. En effet, les autrescross contenant de l’euro ne réagissent pas du tout de la même manière queface au dollar : l’EUR/GBP, EUR/CHF et l’EUR/JPY sont extrêmementinfluencés par la devise de contrepartie. À noter aussi que parce que l’euroest la devise de 15 pays (en incluant la Slovénie), toutes les nouvelles économique simportantes affectant l’un de ces pays affectent l’euro et doncl’EUR/USD. Cependant, il faut souligner que les politiques monétaires de laFED et les nouvelles économiques provenant des États-Unis influencent bienplus largement cette paire que les nouvelles provenant de l’économie européenne.Enfin le cross EUR/USD est le point de rencontre entre les deux plus grandeszones économiques de la planète. Il donne constamment la températureéconomique des deux zones et symbolise les différents intérêts et anticipationsde chaque intervenant sur le marché des changes.

Potentiel de baisse significatif sur l'EUR/JPY

Cette semaine, je choisis de m'arrêter sur la situation graphique et technique de la parité EUR/JPY, soit l'euro contre le yen.
Retour en grâce du yen ?La devise nippone n'a pas été épargnée par la crise alors que le pays du Soleil-Levant, au bord du gouffre, lance un gigantesque plan de relance qui vise à soutenir l'économie via la relance de la consommation.
C'est près de 5% du PIB qui vient d'être engagé en trois plans successifs, rendez vous compte ! Toujours est-il que ces dernières semaines ont montré des signes d'encouragement du yen face à bon nombres de devises. L'euro, en revanche, a été chahuté.
Evolution du cours euro/yen depuis septembre
Guidée par une étoileGraphiquement, le retournement de tendance sur le niveau des 137,5 s'est effectué via la formation puis la validation d'une structure sur les chandeliers japonais dite "en étoile du soir" (evening star).
Cette puissante figure de retournement à la baisse est composée de trois bougies :- la première dispose d'un corps vert important ; - la deuxième a un tout petit corps (de préférence rouge) qui se situe sur le corps de la première ; - la troisième bougie est rouge avec un corps important comparable à celui de la première bougie verte.
Les bears reprennent la main sur les bullsLe petit corps de la deuxième bougie, qui établit de nouveaux plus hauts, témoigne en réalité d'un essoufflement de la dynamique. La journée, qui suit et développe une grande bougie rouge, symbolise en réalité la reprise en main du marché par les baissiers.
Par ailleurs, lorsque la deuxième bougie est constituée par un doji comme sur le dessin ci-dessous (cours de clôture égal ou très proche du cours d'ouverture), la figure est encore un peu plus puissante que l'étoile du soir classique. C'est quasiment le cas ici pour l'EUR/JPY.
Les indicateurs techniques confirmentGraphiquement, la parité s'est extirpée d'un canal haussier au sein duquel elle évoluait depuis janvier, tandis que du côté des indicateurs techniques, la validation d'une divergence baissière sur le RSI vient renforcer le retournement de tendance actuelle.
Par ailleurs, le RSI sur une base hebdomadaire reste coiffé par une oblique baissière.
L'EUR/JPY teste un support importantNéanmoins, les cours testent désormais un fort niveau de support à 126 sur la bande de Bollinger inférieure. Mais, à l'inverse du précédent test de cette zone le 30 mars dernier, les cours ont peu réagi au contact de ce support.
Aucun signal de retournement majeur n'est à l'oeuvre. La cassure du niveau des 126 ternirait un peu plus les perspectives sur la parité.
Visez la cassure des 126Actuellement, la paire cote 126,92.
Tant que 132,2 n'est pas enfoncé, je privilégie la mise en place d'une nouvelle jambe de baisse, avec, en cassure de 126, les cibles de 121,5 et de 120 en extension.
Alternativement, un rebond au-delà des 132,2 invaliderait la tendance baissière et les cours iraient alors chercher la cible à 139.

mercredi 22 avril 2009

1. Les devises et les actifs qui montent


On retrouve ici, les placements considérés comme placements refuge (appelés « safe heaven ») par les traders :

– le franc suisse (CHF) monte grâce à la neutralité historique de la Suisse. Dès qu’un conflit éclate sur la planète et menace de s’étendre, des rapatriements de capitaux en direction de la Suisse ont lieu, par peur de confiscation. De plus, beaucoup de gens ont des capitaux en Suisse car le taux d’imposition est bas ;

– l’or (XAU) monte car c’est l’actif considéré le plus sûr (en temps de guerre, on n’a pas besoin d’une banque pour protéger sa richesse : on peut l’enterrer) ;

– le yen (JPY) monte très fortement, à cause des débouclages des positions de Carry trade, ce qui implique une baisse de l’USD/JPY ;

le dollar monte parce que les investisseurs américains qui ont vendu leurs actions, et autres actifs en devises étrangères, convertissent ces dernières pour se retrouver dans leur monnaie locale : le dollar. Beaucoup de hedge funds ont leur comptabilité en dollar. Paradoxalement, même si la crise provient d’un problème américain, le dollar monte. Et aussi, parce que c’est toujours la monnaie de référence dans le monde entier ;

l’USD/CHF baisse, car même si les deux actifs montent en même temps, ils ne montent pas à la même allure ;

l’USD/CAD monte car le dollar canadien (CAD) baisse à cause du CAD/JPY qui baisse et du dollar qui monte ;

l’USD/ZAR (rand sud-africain) monte car les devises de Carry trade baissent et le dollar monte ;

– les cours des obligations montent (donc leurs taux d’intérêt baissent). C’est vrai, surtout pour les obligations d’état, car se sont les plus sûres.

2. Les devises et les actifs qui baissent

Ici, figurent les actifs considérés comme risqués par les traders :

– toutes les devises de Carry trade (NZD, AUD, TRY, MXN, ISK, INR, ZAR) s’effondrent (Cela veut dire que les parités USD/TRY, EUR/ISK, l’USD/INR, etc., explosent à la hausse) ;

l’EUR/USD baisse car il suit l’EUR/JPY qui lui, est un Carry trade qui chute fortement ;

– les actions baissent car les traders anticipent un ralentissement de l’économie ;

– plus généralement, les commodities baissent et avec elles les devises de commodities comme l’AUD, le NZD, le CAD, etc. ;

– donc l’AUD/USD baisse puisque l’AUD baisse et le dollar monte.

Bien évidemment, quand la crise se dissipe, on assiste aux mouvements inverses. Et il faut vous y préparer, car ils peuvent être presqu’aussi violents et soudains !

En période de crise, les hedge funds clôturent leurs positions gagnantes pour faire face aux appels de marge qu’ils subissent à cause des pertes sur d’autres actifs risqués. C’est ainsi, que se propage une crise d’un continent à l’autre, d’une devise à une autre, d’un marché financier à un marché de commodities, etc., alors qu’ils semblent à priori, complètement indépendants les uns des autres. N’oubliez pas que nous sommes dans une économie mondiale globalisée, où les flux financiers passent d’un continent à l’autre, à la vitesse de la lumière !

Quels sont les mouvements probables en cas de crise ?

Voici le chapitre 15 du dernier livre de Philippe Lhermie « Spéculer avec succès sur le Forex ».

Chapitre 15: Quels sont les mouvements probables en cas de crise ?

Le passé récent sur le Forex comporte trois crises : une mini-crise, vite oubliée depuis, le 27 février 2007, avec des fermetures massives de Carry trades, lorsque Shanghai a perdu 9 % en une seule séance, une autre plus forte, durant l’été 2007, à partir du 23 juillet 2007 et qui dure toujours presque un an après, à cause des subprimes et la dernière, le 21 janvier 2008, jour où par malchance, la Société Générale a débouclé la position de 50 milliards de son trader fou alors que les bourses asiatiques et européennes s’effondraient. L’analyse de ces crises nous permet de déterminer les réactions initiales des opérateurs. Les traders parlent alors de « Risk aversion » et de « Flight to quality ».

En fait, les traders comparent constamment tous les actifs, les uns par rapport aux autres, en fonction de leur rapport rendement/risque (« risk/reward »). Lors des périodes de confiance et d’euphorie (« Risk seeking »), les traders sont prêts à prendre des risques, parfois même trop. Et à l’inverse, en cas d’incertitude, de mauvais chiffres ou de résultats faibles ou négatifs, ils vendent leurs actifs risqués pour acheter des actifs sûrs.

Nous allons détailler quelles sont les devises et les actifs qui montent en général, ainsi que ceux qui baissent lors d’une crise. Mais à chaque fois qu’une nouvelle crise surviendra, il vous faudra bien analyser les origines et les raisons, afin de mieux cerner quelles seront les devises qui bougeront et dans quel sens, car toute nouvelle crise n’est jamais semblable à la précédente et du coup, l’effet escompté sur tel ou tel actif sera peut-être différent.

mardi 21 avril 2009

Utiliser le marché des changes dans la gestion du patrimoine


Parmi les placements offerts aux investisseurs dans leur gestion de patrimoine il y a des investissements en action ou sicav étrangères. Il peut, en effet, être très avantageux de profiter de la forte croissance de pays en développement en y plaçant une partie de son capital. Cependant il est nécessaire de bien se couvrir car en plus du risque inhérent au placement il existe le risque de change. Le Forex permet de se protéger par rapport à ce risque. Pour illustrer ce propos prenons l'exemple d'un investissement aux Etats Unis.
  • En septembre 2000 1 euro vaut 0.90 Dollar. Le Nasdaq est à 4100 ce qui équivaut à 4500 en convertissant en Euro.
  • Au creux de la vague baissière en Mars 2003 l'Euro Dollar s'échange à 1.07, le nasdaq est proche des 1250 ce qui équivaut à 1150 en euro
  • Debut 2004 l'euro dollar culmine à 1.29, le Nasdaq à 2150 soit 1700 en Euro.
Un fonds indexé sur le Nasdaq a donc perdu près de 70% entre 2000 et 2003 puis a repris un peu plus de 70% en moins d'un an. Sur toute la période la perte s'établie à -47% environ. Pour une personne résidant en Europe il est nécessaire de rapporter cet investissement en Euro sa monnaie locale. Entre 2000 et 2003 la perte est de près de 75%, la reprise jusqu'au début 2004 n'est plus que de 48%. La perte globale sur toute la période est de 62%. Le risque de change est matérialisé dans cet exemple. Intervenir sur le marché des changes permet de limiter le risque.

lundi 20 avril 2009

Une technique simple de money management


La technique de money management suivante peut servir de base au trader débutant. Elle inclue des notions simple mais nécessaire de gestion des risques via l'ajustement de la taille de la position et de la gestion des stops et de gestion de la position.

Taille de position

La taille de la position au départ est fixe, je travaille avec une mise qui représente un pourcentage de mon portefeuille (effet de levier compris). Ceci me permet de disposer d’un potentiel d’intervention multiple pour un suivi de tendance (principe du pyramidage).

Par exemple : Si on dispose d'un capital de 15’000$ et que le broker propose un levier 40 au maximum. On a un potentiel de 600’000$ =15'000$ x 40.
Mon broker permet de trader des lots par 50k$ ou 100k$ on a donc la possibilité de trader 12x50k$ ou 6x100k$.
Ce choix est très personnel et dépendra de son aversion au risque. cf le chapitre sur l' effet de levier.

Gestion des stops

La gestion des stops est assez simple. Mon objectif principal est de préserver mon capital donc chaque prise de position ne doit pas risquer plus d’un certain pourcentage de mon capital. Comme la taille de mes positions est fixe, une fois que j’ai fixé un seuil d’invalidation sur une analyse j’en déduis mon point d’entrée.
Un exemple pour illustrer, supposons que je possède un portefeuille de 15’000$, que je traite des lots de 50k$ et que j’accepte de perdre 1% de mon capital sur chaque prise de position.
1% de 15’000$ représente 150$ et je travaille avec des positions à 5$ par pip sur l’EURUSD (cf valeur des pips), je devrais donc mettre mes stops à 30 pips maximum de mon point d’entrée.

En pratique quand je fais une analyse (je fais principalement du suivi de tendance) j’ai un point d’invalidation de la tendance ce qui me donne avec la règle ci-dessus un niveau d’entrée.

Bien sûr la position du stop n’est pas fixe, dans l’exemple, je ne vais pas toujours mettre mon stop à 30 pips exactement, j’inclus dans mon analyse la notion de volatilité qui me permet de resserrer le stop en fonction des caractéristiques du marché ce qui diminue le risque.

Rendement / Risque

En fonction de l’éloignement du stop j’évalue si le trade peut être intéressant par rapport au rendement / risque. Cette partie est également basée sur l’ analyse technique du cours, cela me permet d’évaluer le potentiel du trade. Généralement si le potentiel est inférieur à 4 fois le stop je ne prends pas position.
Par exemple, si j’ai un stop à 30 pips mon potentiel de gain doit être supérieur à 90 pips.

Cette technique permet théoriquement d'encaisser les erreurs d'analyse. En effet si on peut se tromper 3 fois sur 4 sans perdre de capital (3 pertes de 30 pips = 1 gain de 90 pips).

Ce rapport ( rendement / risque ) ceci se nomme aussi l'espérance de gain.

Suivi de position

Le suivi de la position permet de maximiser et de protéger les gains.

La protection des gains se fait grace à l'évolution du stop de protection dont l'évolution dépend le plus souvent de critères techniques (moyennes mobiles, critère de dow...).

Maximiser les gains consiste à prendre de nouvelles positions tant que le marché nous donne raison. Si la position initiale est baissière alors tant que la tendance est à la baisse nous ouvrirons de nouvelles positions. C'est ce que l'on appelle le pyramidage

Dans l'exemple suivant nous avons pris une position short (baissière) sur l' euro dollar à 1,2875. Nous faisons évoluer le stop de protection sur la moyenne mobile exponentielle 50. Lors d'une consolidation nous reprenons position à 1,2835. Le stop suit toujours la même moyenne mobile jusqu'à être touché à 1,2815.

Le bilan de ce trade est de 60 pips pour la première position et 20 pips pour la seconde. Soit +80 pips. Le pyramidage a permis un gain 30% supérieur avec un risque calculé.

Remarque : certaines configurations permettent de pyramider 3 ou 4 positions, les gains deviennent alors rapidement conséquents.

vendredi 17 avril 2009

www.etoro.com( Company plateforme Forex)

Company Name: Tradonomi Limited

Website Address: www.eToro.com

Info about Company:

eToro est une plateforme Forex novatrice qui permet aux traders débutants d'entrer dans l'arène passionnante du marché des changes.
La plateforme est basée sur la représentation visuelle des transactions financières, permettant aux utilisateurs une approche intuitive du forex.
Les transactions se font au travers d’une interface très simple et sont couplées à des cours en ligne d’initiation aux marchés des changes.
eToro est arrive a résoudre un des principal chalenge du monde des brokers : Donner aux tradeurs non initiés la possibilité d’accéder de façon claire au forex et de permettre aux investisseurs de se former de façon ludique.
Finis, les graphiques et les processus complexes ou encore le langage obscur.
eToro a créé la première plateforme de trading intuitive du monde.
Regulated by: Various certified brokers such as RetailFX Limited and IFX Markets (NFA)

Client base: Global

Leverage: up to 1:400

Commissions: none

Pip Spread: as low as 2 pips

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eToro has designed a variety of features that make trading, monitoring, communicating and staying informed simpler than ever. These features include:

Visual representations: Trades are depicted through various creative representations, so traders can monitor their activity with ease.

Practice mode: Traders are welcome to polish their skills by trading with virtual money for live rates, before putting them to the test.

Competitions: eToro organizes free to enter competitions in which traders compete against each other for lucrative prizes.

Chat: Traders have the opportunity to discuss all things Forex with their trader friends in public or private chats.

Trade: Real time execution of all trades.

Low Spreads: Super low spreads - as low as 2 pips on the majority of currency pairs. No hidden commissions.

Languages: English, Arabic, Spanish, Portuguese, Russian, Chinese and German (Coming soon: French and Italian)

24 hours trading: The Forex market is open 24 hours, five days a week, so you can go ahead and trade day or night.

Below you will find the Market Hours in Eastern Standard Time (EST) for four of the world’s largest financial centers:

  • Tokyo Market Hours: 7:00 pm to 4:00 am EST
  • New York Market Hours: 8:00 am to 5:00 pm EST
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All trades will automatically close out in eToro real money mode when market closes at the end of the week.

Live support chat: Click here to chat to our professional support
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Trial Duration: No Limit

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Platform Information:

The eToro platform provides players with a selection of five different trading arenas that appeal to a variety of traders with varying levels of trading experience. Novice traders may enjoy creative visualizations that display the movements of their positions, while seasoned traders can trade in more advanced arenas. Traders are also provided with tools such as various charts, trading logs and continuous news streams that keep them on top of financial events.
Headquarter Address:

Tradonomi Limted

229 Arh. Makarios III Ave.
Meliza Court,
3105 Limassol, Cyprus
P.O. Box 51263, 3503
Phone: +357-25-025060

jeudi 16 avril 2009

Formation au marché du Forex


Finotec, en collaboration avec le site E-market online, notre centre d’enseignement sur le forex, présente une série de cours sur le forex et le trading en ligne destiné à accompagner les débutants lors de leurs premiers pas dans le monde du Trading de devises.

Les informations et les ressources mises à disposition des élèves dans le cadre de cette approche exhaustive et méthodique des marchés financiers fournit constitueront la base d’une formation complète et aideront les traders à mieux réussir dans leurs transactions sur le forex.

Chez Finotec, l’apprentissage du Forex 2009 va de pair avec l’entraînement : tout en prenant connaissance des tenants et des aboutissants du forex 2009 et des moyens mis à leur disposition pour négocier de la façon la plus judicieuse, les élèves pourront se familiariser avec les opérations Forex 2009 sur Internet, et ce sur l’un des systèmes de trading les plus performants du marché.

Questions principales abordées dans les cours sur le Forex :

  • Introduction au marché du Forex 2009
  • Stratégies et outils de trading
  • Types de transactions
  • Analyse fondamentale et Analyse technique
  • Le retracement de Fibonacci
  • Guide du trading en ligne
  • Psychologie du trading
  • Méthodes de Gestion du risque
  • Comment devenir un pro du trading

Pourquoi ce genre d’enseignement est-il important ?

L’attrait majeur du trading sur les devises est que celui-ci peut vous aider à réaliser des profits considérables. Cependant, il y a un revers à la médaille : le trading sur marge peut également entraîner de grosses pertes. Malheureusement, les traders qui se précipitent sans réelle expérience ou formation – et ils sont nombreux – sont voués à l’échec. Alors pourquoi apprendre ces choses à vos dépens ? Avec les cours dispensés par Finotec, vous apprendrez l’art de trader comme un pro. Apprendre le forex 2009 n’avait jamais été aussi facile!

Pourquoi traiter sur le Forex ?

  • Grande liquidité : avec plus de trois mille milliards de dollars négociés chaque jour, le forex 2009 est le plus grand marché du monde. C’est aussi le plus liquide.
  • Trading en continu 24h/24 : Le marché du forex2009 est ouvert aux transactions en continu, près de 6 jours sur 7.
  • Grand pouvoir d’achat : grâce à l’effet de levier associé aux transactions sur le forex 2009 (jusqu’à 200:1 chez Finotec), vos profits sont multipliés.
  • Pas de commission : Les frais de transaction sur le forex sont contenus dans le faible écart acheteur-vendeur.

Pour profiter de ces avantages, les investisseurs, qu’ils soient débutants ou plus expérimentés, choisissent Finotec.



source :http://fr.finotec.com/forex-learning.php

TUTORIAL FOREX sur FxLite - La base du Forex, quoi savoir!

Le marché du Foreign Exchange, bien qu’il soit le plus grand marché au monde en terme de volume, n’est que très peu tradé par les investisseurs particuliers. L’une des explications est généralement le manque de connaissances et de formation pour comprendre les fondamentaux afin d’acheter ou de vendre des devises.

Une autre explication est également le manque de confiance de la part des investisseurs envers le partenaire qui est à même de fournir la liquidité à ces mêmes investisseurs.

Avec les récents développements de régulation sur le marché des actions et le lancement de sociétés légitimes et fortement capitalisées telles que FXLite (via FXDirectDealer), l’utilisation du Forex par les money manager et les gestionnaires de Hedge Funds, les trésoriers de petites entreprises ainsi que les traders actifs, croit de façon exponentielle depuis quelques années.

Ce tutorial sur le Forex a pour but de vous donner une meilleure compréhension des principes et fonctionnement du marché FOREX (Foreign Exchange) ainsi que les risques et avantages à trader ou investir sur ce nouveau marché exceptionnel.

jeudi 9 avril 2009

Pyramide de Gann

pyramide de gann
pyramide de gann
Le rouge indique les points les plus importants.
Lorsqu'un point de cette couleur casse, le cours effectue un tour complet de la pyramide.
Exemple : si 81 casse, le cours va ensuite à 121..
pyramide de gann
Le jaune indique les points très importants.
Lorsqu'un point de cette couleur casse, lecours va jusqu'au prochain coin de la pyramide, donc au prochain point jaune ou rouge.
Exemple: si 101 casse, le cours va ensuite à 111.
pyramide de gann
Le bleue indique les points très importants.
Lorsqu'un point de cette couleur casse, le cours va au prochain angle.
Exemple : si 116 casse, le cours va ensuite à 121.
pyramide de gann
Le vert indique les points de faible importance.
Lorsqu'un point de cette couleur casse, le cours va à la prochaine ligne.
Exemple : si 154 casse, on va à 157.
forex
Pour confirmer qu'un point est cassé, les deux sessions suivantes doivent clôturer 50 pips plus haut (/plus bas).

La pyramide de Gann est un basique du trading, inventée au début du siècle dernier. On pourrait la comparer aux vagues d'Elliott ou aux retracements de Fibonacci (Gann ayant lui même travaillé sur d'autres types de retracements). Elle ne permet pas de faire du Day Trading. C'est un outils d'analyse moyen terme, long terme. Elle permet principalement de voir vers où le cours se dirige, vers où il rencontrera des niveaux de résistance ou de support.
Nous ne détenons pas encore de chiffres test permettant d’appuyer que la pyramide de Gann fonctionne. En revanche, je vous invite à tout simplement prendre les cours historique et suivre les déplacements qui se sont fait dans la pyramide. Vous verrez alors que le résultat est flagrant.

Pour positionner votre cours dans la pyramide, le principe est très simple: 1,50 correspond à 150. En revanche, pour les parités côtées en centaines, le cours ne change pas. (Si une parité côte 98, on positionnera 98 dans la pyramide)

Voici un exemple pour l'EUR/USD sur la baisse de l'année 2008:

pyramide de gann

De 1,60 à 1,39 direct. Puis rebond jusqu'à 1,48. On renfonce jusqu'à 1,24 puis on remonte jusqu'à 1,45.

Prenez un autre graphique historique journalier et regardez les mouvements qu'il y a eu avec la pyramide de Gann.

Original de la pyramide:

pyramide de gann

La pyramide de Gann présentée ci-dessus est très importante. Elle donne une information capitale, certains points sont suggérés. En effet, la pyramide de Gann est souvent présentée avec uniquement des chiffres ronds. C’est d’ailleurs le cas chez nous pour des raisons de place… Eh oui imaginé qu’il faille mettre les chiffres 118.5 ; 119.5 … la pyramide de Gann serait alors énorme !! Mais, ce n’est pas pour autant qu’il faut oublier ces points notamment lorsqu’ils correspondent à une zone de support ou de résistance selon le cas. Ce que nous montre la pyramide originale, c’est que certains points verts (d’importance moindre) ne sont pas apparents sur la table de la pyramide de Gann. C’est le cas par exemple de 108.5 ;113.5 ;118.5… Normalement sur chaque ligne de la table, il devrait y avoir 2 cases vertes si l’on décomposait la pyramide en 0.5 par 0.5. Ainsi entre 81 et 121, tous les points verts ne sont pas apparents. Même si ces points ne sont pas d’une grande importance, il faut en tenir compte. La pratique nous a en effet montré que ces points sont parfois des points de retournement de tendance.

Comment traiter avec la pyramide de Gann?


C’est surement la question que vous vous posez tous. La théorie c’est bien jolie mais il faut aussi laisser place à la pratique. Tout d’abord il faut savoir comment fonctionne la pyramide de Gann. Une journée est considérée comme validée si la clôture se fait au dessus de 50 pips de la ligne considérée. Pour entrer en position, il faut que deux journées soit validées. Certains vous diront qu’une seule journée est nécessaire. C’est à vous de choisir mais sachez que la validation par deux journées permet d’éliminer un nombre important de faux signaux. D’après les divers commentaires que j’ai pu récupérer, je vous conseille d’adopter cette dernière méthode.

Le placement des stop loss et take profit:
La pyramide de Gann doit être utilisée dans une vision MT ou LT. En effet, les objectifs sont de l’ordre de plusieurs centaines de pips, il est donc rare que ce dernier soit atteint en une seule journée. Le plus souvent, le trade s’effectue sur la semaine. Bien sûr il n’y a pas de règles précises, les mouvements du marché peuvent être brutaux et votre objectif ou stop loss atteint rapidement. Etant donné que vous ne traitez pas sur la journée, vos stop loss doivent être éloignés afin d’éviter d’être taper à cause d’un mouvement de correction. La plupart du temps, votre stop sera placé entre 120/150 pips. Aie !! Mais ce n’est qu’un ordre d’idée. Le risque n’est pas changé si vous traitez en Money management. Après selon votre objectif de gain, il est important d’adapter votre stop afin de conserver un ratio P/L de 3 environ. (Dans votre tête : 120*3=360). Eh oui, le risque est peut être important (et contrôlé) mais l’espérance de gain l’est aussi. Cependant, bien que les lignes de différents couleurs peuvent être considérés comme des objectifs à atteindre, placer votre objectif quelques dizaines de pips en dessous (ou au dessus selon le sens) est judicieux. La encore, c’est la pratique qui parle. Cette méthode peut donc vous rapporter énormément. L’important est d’être discipliné. Il faut se tenir à ses objectifs et ne pas prendre peur à chaque mouvement du marché. Il y aura forcement des jours ou le marché ne fera qu’aller dans le mauvais sens pour vous. C’est parfaitement normal puisqu’il y a des mouvements de correction constamment. f ne fait jamais une ligne droite vers votre objectif.

Etude sur la pyramide de Gann

Pour comprendre cette étude, nous avons calculé le pourcentage de fois qu'un point haut ou un point bas d'une fourchette de prix était atteint lorsqu'un changement de fourchette est effectué. Prenons un exemple. L'EUR/USD franchir a la hausse le seuil de 130. Il se trouve donc dans la fourchette 130-133. 133 est donc son objectif. Si celui ci est atteint a + ou - 10 pips, je compte 1 dans le tableau. S'il ne l'est pas, je mets 0. L'objectif peut etre atteint a tout moment de la journée. Il peut arriver qu'il n'y ait qu'une journée de validation et dans ce cas, j'affecterai la journée 2 du signe < - >. Le pourcentage total représente donc la probabilité que l'objectif soit atteint.

est pour l'instant impossible d'effectuer des analyses plus poussées vu le peu de données dont nous disposons. Cette étude débute au début de l'année 2009 jusqu'au vendredi 27 mars 2009. L'étude idéale consisterait a calculer le nombre de fois ou la ligne de la meme couleur que la précédente a été atteinte lorsqu'un signal d'achat ou de vente a été donné.

Il est important de rappeler que la pyramide de Gann n'est pas tres adapté au day trading. En effet, les stops doivent etre placé bien en dessous de la fourchette afin d'éviter d'etre stoppé du fait d'une volatilité importante dans la journée. Il peut cependant etre couplé avec d'autres indicateurs pour déterminer des stops beaucoup moins éloigné. Le super Trend par exemple peut etre un outil intéressant a coupler avec la pyramide de Gann. Ainsi, le super trend détermine votre stop et la pyramide de Gann votre objectif.

En moyen et long terme, la pyramide peut être la, utilisée sans aucun autre indicateur en plaçant ses stops bien en dessous de la fourchette. Une centaine de pips en dessous me semble judicieux. Pour ce qui est de l'objectif, c'est a vous de juger, mais l'importance des lignes joue un rôle primordial. Le dépassement d'une ligne rouge par exemple est un excellent point d'entré, puis viennent les jaunes, les bleues et les vertes. L'objectif peut être par exemple fixé a la ligne suivante de même couleur. De très belles performances ont été réalisées par l'utilisation de cette méthode. Ces personnes se reconnaitront et je les salue.

Voici les résultats de l'étude:

Le tableau récapitulatif des performances:


Vous pouvez donc voir que la pyramide de Gann offre des résultats intéressant et est un tres bon indicateur pour rentrer ou sortir du marché.

mardi 7 avril 2009

La paire de devises EUR/USD teste le premier support suite commentaire de Steinbrueck

L'euro contre dollar est en baisse, proche du premier support journalier suite au commentaire de Steinbrueck (ministre des affaires etrangeres) : "L'Allemagne, membre de l'Union Europenne, attache une tres grande importance sur la crédibilite du Pacte de Stabilité et de Croissance, mais elle n'est pas prise au serieux par certains". Il a ajouté que l'euro pourrait subir les consequences du non respect du traite. Ce non-respect du pacte pourrait affecter l'euro, qui perdrait de sa crédibitité et de sa sabilité.
Source : - http://www.rtfx.fr

Analyse du forex pour le 07/04/2009: Le dollar continue sa progression

Le dollar continue sa progression lors des ventes à New York aujourd’hui en atteignant ses meilleurs records face aux majeures peu de temps après que le fix de Londres ; en dépit de l'augmentation du billet vert les majeures ont tenu les niveaux importants de S/R au cours de la journée en conservant une action bi-directionnelle à la fin. Le commerce technique était de règle pour la plupart car le manque de nouvelles économiques a maintenu l’attention des traders sur les prix en temps avec des stops aidant à conduire la majeure partie de l'action intrajournalière. La livre n'a pas été vendue à des sommets observés plus tôt à la fin des ventes en Europe, ce matin il se trouvait à 1.4961 avant de battre en retraite en dessous des stops pour se trouver dans les bas à 1.4668 avant de récupérer plus d'une pleine poignée et se situer au-dessus de la poignée de 1.4700. Les traders notent que les spreaders du yen notent que la liquidation du yen est aussi sensible que la faiblesse de l’euro qui aide à baisser le taux tout maintenant support technique dans le secteur de 1.4720. L'euro pique du nez en chutant dans le secteur de 1.3550 à l’ouverture des ventes avec des bas de 1.3356 et un support technique au-dessus de la zone de 1.3330 ; on observe aussi une liquidation du taux de la part du yen. L’euro est cependant parvenu à se ressaisir et se trouver dans le secteur de 1.3400 avant de clôturer au-dessus de la poignée de 1.3400 suggérant que les achats aient lieu dans les creux.
Les traders notent que les volumes étaient légers sur le mouvement plus bas et qu’il il n'y a intérêt au cours de l'enchère pendant le fix d’aujourd'hui. Le reste des majeures se sont maintenus en dessous de la résistance technique après avoir essayé de conquérir les sommets ; les traders notent que les niveaux techniques de la semaine dernière sont de retour en jeu dans tous les couples. Les sommets de la paire USD/CHF à 1.1409 étaient en dessous du niveau technique de 1.1420 ; le taux manque se maintenir dans le secteur de 1.1400 vers la fin de la journée. La paire USD/JPY s’est tenue ferme en atteignant
ses niveaux les plus élevés face au dollar en restant cependant outre les sommets ; les sommets à 101.46 sont restés incontestés à New York tandis que le taux se trouve ne pas pouvoir se maintenir dans la poignée de 101.00 à la fin. La paire USD/CAD a atteint le sommet de 1.2443 avant de se laisser tomber sous la poignée de 1.2400 ; une poussée tardive dans la poignée de 1.2400 s’est observée tandis que le taux s’est maintenu autour du secteur 1.2405 avec des ventes relativement faibles. Tous les taux se sont maintenus dans les 100 MA S/R tandis que les niveaux récents du Fib suggéraient que toute l'action d'aujourd'hui ait été dominée par les traders à court terme et il y a toutes les chances que cette situation se répète demain. Avec un calendrier économique léger et jusqu'à la mi-semaine le dollar voudra probablement conserver son action bi-directionnelle durant les 24-48 heures suivantes. Il faudrait s’attendre à ce que le dollar reste faible et se maintienne à l’intérieur des ranges courantes durant la nuit.

Ecrit par Jason Alan Jankovsky pour Forex Pros.

dimanche 5 avril 2009

exposé sur le forex

 Le marché des devises
 Matières premières : l’or et le pétrole
 Mark-to-market
 Simulation de trading : Cas B02 A

Plan du jour

 Introduction aux marché des taux de change
 Contrats sur taux de change
 Les matières premières: Or et Pétrole
 Contrats sur matière première
 L’analyse intermarchés

Le marché des taux de change
 Marché International, ouvert 24hrs
 Qui transige
• Importateur/exportateur
• Touriste
• Dépenses du gouvernement (ex:militaire)
• Spéculateur
• Banques et institutions
Déterminant du taux de change

 Théorie économique nous dit PPP
• Indices McDo de l’Economiste
• Facteurs importants
 Inflation
 Taux d’intérêt
 Balance des paiements (compte courant…)

Bref historique
 Bretton Woods (1944)
• taux de change fixe
 1 once d’or = $35US – toute autres devises fixées au dollar.
 Les banques centrales étaient obligées de garder leur monnaie à +/1% du taux fixe.
 Problème – IMF va nous aider!!
• IMF
 Prêteur par excellence au pays qui avaient des balances de paiement déficitaires.
 Si un pays a épuisé ses ressources d’emprunt à l’IMF alors il peut y avoir dévaluation de la devise.
 Dévaluation est toujours par surprise, sinon le marché s’ajuste avant!
• World Bank
 Prête aux pays en voie de développement. (long-terme, intérêt faible)

 Sous un régime de taux de change avec un standard fixe (Or, Dollar-Or).
• La quantité de monnaie en circulation doit être garantie par une quantité d’or ou de standard proportionnelle.
• Quel est le seul moyen pour un gouvernement de s’endetter ou d’imprimer de nouveaux billets? Acquérir un montant d’or en conséquence.
 Les mécanismes sous un régime de taux de change avec un standard fixe (Or, Dollar-Or).
• Un pays présentant un surplus commercial (exportations > importations) accumule des réserves des réserves d’or (réserves de change étranger converties).
• Plus d’or implique la possibilité d’augmenter la masse monétaire, et dont le crédit dans l’économie. La hausse du crédit alimente la croissance économique.
• La croissance économique génère l’inflation. La hausse des prix rend l’économie moisn compétitive sur les marchés internationaux, et la balance commerciale devient négative… les réserves d’or diminuent! => marasme voire dépression économique en perspective. Ce que les politiciens veulent éviter à tout prix!
 US (72) décide de ne plus garantir la convertibilité du dollar en or.
 Banques centrales ne sont plus obligés d’intervenir.

 Les mécanismes sous un régime de taux de change variable, comme actuellement
• Un pays présentant un surplus commercial (exportations > importations) accumule des réserves des réserves de change étranger.
• Plus de réserve de change implique la possibilité d’augmenter la masse monétaire, et dont le crédit dans l’économie. La hausse du crédit alimente la croissance économique.
• La croissance économique génère l’inflation. Sauf que l’inflation peut être maitrisé tant que la balance commerciale est positive…
• Aujourd’hui quel pays entretient ce système? Les Etats-Unis dont la balance commerciale entretient la croissance économique mondiale!
• Ce système peut fonctionner éternellement… Du moins aussi longtemps que le dollar américain garde la confiance des gouvernements étrangers…

• La dette extérieure américaine est de 2 300 milliards de dollars (23% du PIB US). Le déficit au compte courant américain s’accroit de 50 millions de dollars par heure! Est-ce soutenable à long terme?
Les risques de FOREX pour les entreprises
 Les multinationales et les importateurs/exportateurs font faces aux risques de taux de change quand il sont payés en devises étrangères.
• Solutions: hedge dans le marché ‘forward’ ou dans le marché des options
• Le marché le plus important d’options sur FOREX sont le CME et le PHLS.
Marché des matières premières
 Deux types de matière première
• Consumption commodities
 Énergie, denrées agricoles.
• Investment commodities
 Métaux
 Les arguments d’arbitrage ne tiennent qu’avec les ‘investment commodities’


Matières premières
 Stratégie d’utilisation:
• La couverture
• Les opérations mixtes (arbitrage)
• La spéculation

Matières premières
La couverture
 Pourquoi?
• Pour couvrir les frais de détention
• Pour couvrir les opération boursières futures

 Long hedge : long future
 Short hedge : Short future
Matière premières
Les opération mixtes (spreads)
 Les opérations mixtes intermois
• Prendre une position inverse sur deux contrats portant sur le même sous-jacent mais n’ayant pas la même échéance
 Les opérations mixtes interdenrées
• Tirer profit d’un écart de cours entre des futures ayant la même échéance et ne portant pas sur la même denrée



Matière premières
Les opération mixtes (spreads)
 Les opérations mixtes denrées-produits
• Tirer profit de l’écart de prix entre le future sur la denrée et le future sur un de ses sous produit (ex: soja-huile de soja, Pétrole-huile de chauffage…)
 Les opérations mixtes intermarchés
• Profiter de l’écart de prix entre deux places boursières du même contrat future

Matière premières
Fonctionnement du marché
 NYMEX, LME
 Open Outcry market:
• Le prix d’une denrée résulte d’une enchère à la criée
• Fonctionnement du marché
Matières premières
L’or
 Caractéristique du contrat :
• Place Boursière : NYMEX
• Mois de liraison : février, avril, juin, aout, octobre, décembre
• Taille du contrat : 100 onces, $/once
• Fluctuation minimale : 10 pts = 10$
• 1 once = 30,59 grammes

 Historique :
• Durant quasiment 3000 ans (jusqu’en 1933, l’or circule en tant que monnaie). L’or facilite les échanges.
• 1934 : fin de la circulation de l’or en tant que monnaie. Or et la notion d’état-providence ne sont pas compatibles.
• 1935 : Bretton-Woods, 35USD=1 Once d’or.
• 1972: Nixon lève la parité fixe USD-or. On entre dans un régime de taux de change flottant.
 On ne change pas des habitudes de 3000 ans facilement…
 L’or est l’instrument de référence en tant que refuge contre l’incertitude, et la chute du dollar US.
 Les marchés à terme (depuis 1980) permettent de satisfaire une demande grandissante (effet de levier), et par la même de controler plus facilement le prix de l’or.

 L’or a joué trois rôles dans l’histoire :
• Clé de voute du système monétaire
• Actif financier (détenu à des fins d’investissement)
Note : depuis les années 1970, les banques se départissent de leurs réserve d’or
• L’or est une matière première (bijouterie et quelques application industrielles dans les composants électroniques)
En 2005 : sur 110 millions d’onces entrant dans le marché, la bijouterie en a accaparé 65% contre 78% historiquement => signe de l’intérêt des investisseurs pour un raison autre que la bijouterie!!
 L’or ne se perd pas : on estime à 10% la quantité d’or perdue dans toute l’histoire!
De plus la plupart de ces pertes ont eu lieu ces dernières années dans le non recyclage de l’or (électronique, implants médicaux…).
 L’origine de l’or :
• Antiquité - 1869 : 170 millions d’onces produites
• 1869 – Aujourd’hui : 4 330 millions d’onces produites!
 Le marché
• L’or représente 2% de la valeur totale des matières premières produites dans le monde contre 30% des produits dérivés sur matières première!

• Conclusion : l’or ressemble plus à un actif financier, et non à une matière première!

• 2005 : 6 millards d’onces transigées sur les dérivés (Londres, Chicago, New-York, Tokyo) contre 110 millions d’onces produites! Un ratio de 60:1… Contre 10:1 ou 5:1 pour les autres matières. Pourquoi?? Car l’or se transige comme un actif financier.
 Le marché
• L’or représente 2% de la valeur totale des matières premières produites dans le monde contre 30% des produits dérivés sur matières première!

• 2005 : 6 millards d’onces transigées sur les dérivés (Londres, Chicago, New-York, Tokyo) contre 110 millions d’onces produites! Un ratio de 60:1… Contre 10:1 ou 5:1 pour les autres matières. Pourquoi?? Car l’or se transige comme un actif financier.

• Conclusion : l’or ressemble plus à un actif financier, et non à une matière première!
• Le prix
• Historiquement, le prix de l.or a été fixé par les autorités gouvernementales. les Gold Standard. L’histoire témoigne de l’effondrement réguliers de tels systèmes au cours de l’histoire (de l’antiquité à 1971…)
• Depuis, l’or fluctue librement (pic à 850$ en 1980)
• Le facteur fondamental des variations du prix de l’or est la demande pour l’or en tant qu’actif d’investissement.
• Les six motivations pour investir dans l’or :
• couverture contre l’inflation
• Couverture contre le risque de taux de change
• Diversification de portefeuille
• Actif sûr
• Matière première
• Forme d’épargne
• La détention d’or se démocratise. Pour la première fois, en 2005, l’or détenu par les individus dépassent l’or détenu par les banques centrales (1 milliards d’onces).
• Les banques centrales :
• Les banques centrales détiennent toujours un montant équivalent à 80% du montant qu’elles détenaient lors du Dollar-Gold Standard.
• Est-ce que les banques centrales cont continuer à se départir de leurs réserves d’or? Facteur d’mportance extrême car les banques centrales ont mis sur le marchés 14 millions d’onces par ans au cours des 40 dernières années…
 L’offre :
• Trois sources : les compagnies minières, le recyclage et les banques centrales
• Globalement, la production minière a augmenté pour la première fois en 2004 (Pérou, Australie, Tanzanie, Mali, Burkina Faso, Ghana, Indonésie, Chine, Russie). La production suit le prix de l’or, mais avec deux ou trois ans de retard…
• La production a diminué dans les trois plus grands pays producteurs : Affrique d Sud, Etats-Unis et Canada.
• 20 millions d’onces proviennent du recyclage

 La demande de fabrication :
• Prix élevé => demande en baisse au cours des dernières années. La demande provenant de la bijouterie est très élastique.
• Les matières premières : Le pétrole

 Caractéristique du contrat :
• Place Boursière : NYMEX
• Mois de livraison : Tous
• Taille du contrat : 1000 barils
• Fluctuation minimale : .01 barils, ($10)
• 1 points = 10$
• 1 Baril = 159 litres
 Les déterminants du prix du pétrole :
• La loi de l’offre et de la demande!
• La hausse du prix est due…
 A une hausse de la consommation mondiale
 Poussée acheteuse spéculative sur les dérivés
 La théorie du super-cycle des matières premières
• Croissance annuelle de la demande (consommation)
 1980 - 1995 : 1.5%
 1995 – 2003 : 1.7%
 2003 – 2005 : 2.3%
 La demande provenant de Chine est très importante, mais en réalité, la demande a été plus vigoureuse dans le rete du monde (surtout aux Etats-Unis)!
 L’offre a eu du mal à s’ajuster à cette nouvelle vigueur : le prix est resté relativement bas entre 1980 et 2000.
 La hausse du prix peut être vue comme une représaille de la part des pays producteur contre la croisade américaine au Moyen Orient.
 L’offre
• 84 millions de baril par jour en 2005 contre 77 millions en 2001.
• En 2005, 60% de l’offre provient de pays hors OPEP.
• Le niveau des prix actuels favorisent l’investissement et permet de prévoir une augmentationd e l’offre au corus des prochaines années.

 A quelle rythme les réserves s’épuisent-elles?
• International energy Agency : Au cours des 100+ dernières années, plus de 1 500 milliards de barils ont été consommés. On prévoit en consommer autant durant les 25 prochaines années.
• Réserves actuelles : 20 000 milliards de barils, dont 5 à 10 milliards sont extractables avec la technologie actuelle. Aujourd’hui on extrait 35 à 40% des réserves d’un champs pétrolier.
• Attention : beaucoup de terre restent inexplorées (90% de la lybie par exemple) et la technologie d’exploration et d’extraction progresse.

 La demande
• 84 millions de baril par jour : 20.8 millions pour les Etats-Unis, 3.5 pour la Chine.
• La demande pour l’énergie se diversifie : Gaz Naturel, Uranium…
• Politque internationale? Un peu d’histoire…
 Les moments clés de l’histoire.

• 1859: Découverte du premier gisement, Titusville (pennsylanie). Début du forage de masse
• 1870 : création de la Standard Oil pr John D. Rockefeller
• 1885-86 : apparition des premiers véhicules automobile à essence (Daimler-Benz)
• 1900-15 : essor de l’industrie automobile, de l’aviation et de la navigation motorisées.
• 1909 : L’Anglo-Persian Oil Company prend le contrôle du pétrole iranien.
• 1911 : Démantèlement de la Standard Oil en 34 compagnies concurrentes.
• 1916 : Utilisation des premiers Tanks Mark I par les anglais sur la Somme
• 1918 : Clémenceau renonce à Mossoul, qui revient à l’Angleterre en échange d’une extension du futur mandat français sur la syrie.
• Les moments clés de l’histoire, suite…
• 1936-39 : La guerre d’Espagne souligne le rôle nouveau des blindés et de l’aviation d’assaut dans les conflits
• 1951 : Mossadegh nationalise le pétrole iranien. Il est renversé en 1953 avec l’aide de la CIA.
• Octobre/novembre 1956 : Crise de Suez. Brève pénurie de Pétrole en Europe
• Septembre 1960 : Création de l’Organisation des pays Exportateurs de Pétrole (OPEP) à Bagdad
• 1972 : le Club de Rome tente d’alerter l’opinion sur la dépendance énergétique des pays développés
• Octobre 1973 : Guerre du Kippour. Premier choc pétrolier et quadruplement du prix du brut.
• 1979-80 : Révolution islamiste eb Iran. Deuxième choc pétrolier.
• Janvier-Mars 1991 : Guerre du Golfe
• Mars-Avril 2003 : Guerre en Irak.

 1859-1901 : La découverte d’un produit miracle
• Découverte et exploitation du premier gisement à Titusville (Pennsylanie). 100 000 en sont extraites en 1862.

• Application à l’éclairage des villes (30 ans)

• L’électricité commence à concurrencer le pétrole. Mais le développement du moteur à explosion vient relancer l’industrie (1900’s).

• Création de la Standard Oil par Rockefeller (1870). Trust immense (compagnie ferroviaire, pipelines, extraction, raffinage…).

• Extension de l’extraction au US : Pennsylvanie, Ohio, Oklahoma, Tennesee, Louisiane, Idiana, Californie et surtout Texas…
 1901-1918 : Le nouvel enjeu stratégique
• Aux US, on a du pétrole, pas de problème pour nourrir la croissance.

• En Europe, ce n’est pas pareil. Les puissances occidentales commencent à essayer de s’approprier les ressources russes (Bakou) et de l’Empire Ottoman.
 Ex : Ligne de fer BBB construite par les allemand
 L’Anglo-Persian Company et le pétrole Iranien. Le gouvernement anglais et l’empire Ottoman.

• La première guerre booste la consommation (donc la demande) et fait réaliser aux grandes puissance l’enjeu stratégique qu’est le pétrole.

• Clémenceau : ‘’L’essence sera aussi necessaire que le sang dans les batailles de demain’’.
• 1918-1945 : Le temps des britanniques
• Puissances européennes : consommatrices mais pas productrices… Il faut acheter le pétrole pour soutenir les transports et l’industrie.
• À la fin de la Guerre, seuls deux puissances européennes sont à même de se lancer dans l’appropriation des réserves mondiales : la France et l’Angleterre.
• Mars 1916 : Accord Sykes-Picot. Le contrôle des richesses pétrolière de la région Sinaï au sud de l’Anatoli. La France reçoit Mossoul mais l’échange deux ans plus tard contre la Syrie au profit des anglais… l’Angleterre contrôle Mossoul, la Perse et l’Irak.
• LAngleterre fait rentrer les francais et les américains deans la capital de la compagnie exploitant le pétrole irakien (Iraq Petroleum Co.)

 1918-1945 : Le temps des britanniques. Suite…
• Les américains, qui savent que leurs réserves nationales ne sont pas éternelles, commencent à prospecter la l’étranger (il vaut mieux épuiser en priorité les réserves des autres…)
• 1920’s : Les compagnies américaines (Standard Oil de Californie, Gulf Oil, Texas Oil…) achètent les concessions pétrolières en Arabie saoudite et dans les émirats. Ce sont des achats très risqués car aucune réserve n’est prouvé.
• 1938:Les US sont la première puissance pétrolière mondiale avec 72% de la production mondiale (dont 12% proviennent de l’exploitation à l’extérieur des US).
• Dans le conflit, l’Allemagne et le Japon sont nettement désavantagés concernant leur approvisionnement en pétrole. D’où le conceptde Guerre éclair établi par les allemands.

 1946-1960 : Guerre froide au proche Orient
• URSS et US sont les deux premiers producteurs et consommateurs d’hydrocarbure en 1946.
• En 1946, lutte interposée en Iran entre l’URSS et les anglais/américains.
• 1951 : Iran, le Dr Mossadegh fait voter une loi nationalisant les avoir de l’Anglo-Iranian. On est au bord de l’intervention militaire mais en 1953, le Dr Mossadegh est renversé par le peuple, avec l’aide de la CIA… Un compromis est trouvé pour le prix et l’exploitation des réserves.
• Le travail des compagnie pétrolières américaines en Arabie Saoudite porte fruit : 53 millions de tonnes y sont produite en 1950.
• 1956 : Nasser et la crise de Suez, mise en évidence du déclin de l’influence des pays européens dans cette région.
• Les compagnies imposent des plafonds au pays producteurs concernant le prix du baril : 1,20$ en 1900, 1,10$ en 1914, mois de 2$ en 1960.
 1960-1979 : Guerre froide au proche Orient
• 1960, les sept majors dominent le marché : Standard Oil of New Jersey, Royal Dutch Shell, Mobil Oil, Texaco, British Petroleum, Standard Oil of California.
• Ces compagnies, qui maitriseraont encore 70% du marché en 1970, sont tellement importantes qu’elles peuvent dicter leurs loi aux pays producteurs, et notamment le prix d’achat.
• Avantage pour les économie occidentales :
 La croissance économique vertigineuse a été nourrie grâce à une énergie à bon marché
 Les états peuvent prélever plus de taxes pour financer les dépenses
• Attention , la prospérité des pays du nord est fondée sur des bases extrêmement fragiles, mais tant que le gendarme américain est là, tout va bien (Iran 1953, Liban 1958…
• Mais, création de l’OPEP en 1960, en réponse à la décision des 7 majors de baisser le prix du brut.


 1960-79 : La bataille de l’OPEP
• La donne change… D’une volonté d’unifier et et de coordonner les politiques pétrolière, l’OPEP s’est battu contre les compagnie pétrolière afin de changer radicalement les rapports de force.
• 1970 : L’OPEP fixe à 55% le taux mimimum des royalties perçues sur les compagnies pétrolières.
• Hausse des prix d’achat, révision automatiques de ces derniers selon le taux d’inflation international.
• Les pays producteurs cherchent à nationaliser l’appareil de production : Algérie en 1971, Irak en 1972, Lybie en septembre 1973.
• Guerre de Kippour, octobre 1973 : l’Arabie Saoudite, le Koweit, l’Irak, l’Iran, Abu Dhabi et le Qatar décident unilatéralement d’augmenter de 70% le prix du brut. Ce n.est que le début… En quatre mois le prix du baril passe de 3$ à 11,65$.
 1960-79 : La bataille de l’OPEP
• Le pétrole devient une arme politique : en octobre 1973, l’Arabie Saoudite, le Koweit, l’Irak, Abu Dhabi et le Qatar menacent de diminuer leur production de 5% par mois tant que les territoires occupés par Israel depuis 1967 ne seront pas rendus aux palestiniens.

• Embargo envers les États-Unis, les Pays-bas, le Portugal, la Rhodésie, l’Afrique du SUD pour leur soutien à Israël.

• Deux impacts :
 accélération de la crise économique et
 rôle accru du leadership capitaliste américain, car ces derniers sont peu vulnérable à un embargo pétrolier…

• 1979 : révolution iranienne et guerre Iran-Irak. Deuxième choc pétrolier. Les pays occidentaux se tournent vers d’autres sources énergétiques ou d’autres mode d’extraction et à adopter des mesures économiques (Le Club de Rome avait tiré la sonnette d’alarme en 1972).
• 1980-2003 : Le triomphe américain?
• La fin de la guerre froide, l’effondremment de l’URSS a laissé un seul acteur majeur sur le marché, les US
• L’hégémonie américaine au moyen et proche-orient est cruciale pour sont développement économique.
• Deux guerres contre l’Irak menées en 1991 et 2003.
• Les enjeux :
• La politique américaine
• Le conflit Israelo-Palestinien
• Production potentielle en russie
• Organisation de l’OPEP