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mardi 11 août 2009

Credit Suisse

Credit Suisse a dégradé son opinion sur Aegon de Surperformance à Neutre avec un objectif de cours relevé à 6,7 euros contre 6,5 euros auparavant. Le broker tient compte des récentes performances du titre, qui a bondi de 47% en un mois et de 320% depuis son plus bas du mois de mars. Il estime que son objectif de cours, qu'il a légèrement revu à la hausse, ne permet plus d'assigner une recommandation Surperformance étant donné les niveaux auxquels le titre s'échange actuellement.

Il ajoute que d'autres valeurs offrent davantage de potentiel de hausse pour des risques similaires ou moindres.

AOF - EN SAVOIR PLUS

Finance - Assurance

Face à la crise financière, qui a détérioré leurs comptes, les assureurs se regroupent. La faillite de Lehman Brothers en septembre 2008 a amputé les fonds propres de la Matmut de 2%. Quant à la Macif, sa perte indirecte suite à la faillite de Lehman Brothers, était de 2,2 millions d'euros en 2008. Les deux mutuelles se sont jointes à la Maif pour créer une société de groupe d'assurance mutuelle (SGAM ) qui devrait être opérationnelle avant la fin de l'année 2009. Leur objectif est de mettre leurs moyens en commun pour certaines activités de façon à optimiser la gestion de leurs coûts. Avec 10 millions de sociétaires, le nouvel ensemble représentera le deuxième pôle mutualiste français (avec 9,2 milliards d'euros de chiffre d'affaires), derrière Covéa. Cette SGAM regroupe la GMF, MAAF et MMA (avec 10 millions de sociétaires, 12 milliards d'euros de chiffre d'affaires). Le nouvel ensemble sera le quatrième intervenant français en assurance dommages (part de marché de 11,7%) et le leader en assurance auto pour les particuliers (avec 22,4% de part de marché). Cette activité représente le métier phare des trois mutuelles.

Finance - Banques

Les grandes banques américaines ont enregistré des performances bien meilleures qu'attendues sur le premier trimestre. Citigroup a affiché un bénéfice de 1,6 milliard de dollars. Même constat pour Wells Fargo (3 milliards de dollars), Goldman Sachs (1,8 milliard) ou JPMorgan Chase (2,14 milliards). Plusieurs éléments ont contribué à redresser leur situation. A l'aide massive des pouvoirs publics américains s'est ajoutée la baisse des taux menée par la Réserve fédérale, qui a permis aux banques de reconstituer leurs marges. De plus, les établissements ont mené des plans de réductions de leurs coûts, à travers des baisses d'effectifs. Ainsi, 260000 postes du secteur financier ont été supprimés en un an. Les analystes restent néanmoins prudents pour l'avenir, compte tenu de l'ampleur de la crise économique. Côté français, les résultats des grandes banques ont été décevants sur le premier trimestre 2009, à l'exception de ceux de BNP Paribas. Au Crédit Agricole, des dépréciations de 570 millions d'euros et une forte hausse du coût du risque, ont provoqué une chute de 77% du bénéfice à 202 millions d'euros. La Société Générale a enregistré des pertes de 278 millions d'euros tandis que la filiale des Caisses d'pargne et des Banques Populaires, Natixis, a affiché des pertes de 1,83 milliard d'euros sur la période.

Le grand broker

UBS a relevé mardi son objectif de cours sur Axa pour le porter à 16,5 €, contre 12,5 € auparavant, tout en laissant inchangée sa recommandation à "Neutre".

Le broker justifie le relèvement de son objectif de cours par la hausse de ses prévisions de résultats, le redressement de la solvabilité (de 127% à 133%) et la mise à jour de l'actif net réévalué ajusté du groupe d'assurances.

Axa a publié la semaine dernière un résultat opérationnel de 2,1 milliard d'euros pour son premier semestre 2009, supérieur la prévision du broker (1,9 milliard d'euros). Une performance meilleure que prévu principalement liée au bon comportement des divisions assurance vie et gestion d'actifs.

"Cependant, nous craignons que le chômage élevé ne soit un obstacle pour un redressement majeur de la demande pour les produits Epargne, Retraite & Assurance Vie", écrit UBS.

Le Forex

La crise a certes touché l’ensemble des nations de l’Union Européenne mais, dans certains pays, marché immobilier et système bancaire tirent leur épingle du jeu plus honorablement. Situation similaire pour des chiffres du chômage qui s’aggravent selon un rythme inégal à travers le continent...Ces évolutions parfois divergentes - en tout cas rarement identiques - de la conjoncture économique et financière au sein de l’Union Européenne se traduisent par des pressions déflationnistes plus ou moins préoccupantes et par des déficits publics plus ou moins tolérables en fonction de la nation Européenne concernée. Le corollaire immédiat consistant en une inégalité de chacune de ces nations face au financement de sa dette publique et par un coût de financement nettement plus lourd (du fait d’un taux d’intérêt plus élevé ) dont doivent s’acquitter les nations fortement déficitaires afin d’attirer les capitaux.

Ces disparités remettent régulièrement au goût du jour les débats quant au bien fondé d’une politique monétaire Européenne décidée par la seule BCE et par définition identique à l’ensemble des pays d’une Union qui réclame des remèdes plus ou moins énergiques en fonction du pays - voire de la région - scrutés ! Questionnements et doutes qui à l’évidence ont été renforcés à la faveur de la crise : Les spéculations, entretenues parfois par leurs responsables politiques au plus haut niveau, selon lesquelles certains pays pourraient quitter la monnaie unique ont ainsi été parfois intenses au cours des derniers mois.

De fait, l’union monétaire contraint les pays membres à abandonner leur indépendance dans la définition d’une politique monétaire adéquate et dans la défense de leurs intérêts économiques, chaque pays membre recevant dès lors un traitement forcément identique. Une nation, ou même une région d’un pays, accusant le coup d’un fort ralentissement économique du fait de tourmentes industrielles locales suite à des choix stratégiques malheureux se traduisant en une accélération du nombre de ses chômeurs serait ainsi doublement - et parfois irrémédiablement - pénalisée si l’autorité monétaire de l’Union à laquelle elle appartiendrait décidait de monter les taux d’intérêts afin de calmer la surchauffe d’un autre pays, ou d’une autre région, qui serait en pleine expansion...Resserrement de politique monétaire qui achèverait de déstabiliser le pays en question en l’absence de subventions et de soutiens fiscaux permettant d’absorber une partie de ces chocs.

Cette controverse, classique et récurrente en Europe depuis la naissance de la monnaie unique en 1999, s’est récemment déplacée - toujours à la faveur de la crise actuelle - pour atteindre un pays - les Etats-Unis - dont on ne soupçonnait pas qu’il put un jour remettre en question les fondements même de sa toute puissante Devise !

Les Etats-Unis sont-ils servis de manière optimale par une monnaie unique elle même défendue par une seule Banque Centrale chantre de la politique monétaire contre-cyclique ? Cette question, inimaginable il y a encore quelques années, trouve aujourd’hui son fondement dans un pays dont les régions et les Etats ont un cycle d’activité hétérogène ne tirant pas uniformément profit de la politique monétaire de la Réserve Fédérale censée être très stimulatrice et ne bénéficiant pas des même stimuli économiques fédéraux.

C’est ainsi que la Caroline du Nord, le Massachusetts ou encore l’Arizona impriment depuis quelques mois leur propre monnaie afin de favoriser leurs entreprises locales dans un contexte de perte totale de confiance dans le système financier traditionnel ! Cette devise locale - et légale selon la réglementation US ! - permettant aux régions de se protéger partiellement vis-à-vis des aléas et des tourmentes affectant l’économie nationale...Ces Devises régionales, qui ont prospéré à l’époque de la Grande Dépression, permettent souvent de sauver un commerce local à l’agonie, l’expérience actuelle la plus efficace étant conduite en Caroline du Nord où la monnaie régionale, le "Plenty", est acceptée en guise de règlement par de plus en plus de commerces et de professions ! Certaines entreprises locales sembleraient même sur le point de payer leur salaire à leurs employés en Plenty, monnaie dont les billets sont conçus par des artistes locaux et où l’on peut lire la Devise : "In Each Other We Trust".

La BCE:238 milliards d'euros du circuit

La Banque centrale européenne (BCE) a annoncé mardi avoir absorbé plus de 238 milliards d'euros de liquidités après avoir constaté un "large déséquilibre excédentaire" dans le circuit bancaire de la zone euro.

Cette opération dite de "réglage fin" sur un jour a réuni 159 banques implantées dans la zone euro. Elle s'est effectuée au taux moyen de 0,70%, pour un taux maximum de 1%, selon un communiqué de la BCE.

La BCE a aussi annoncé un refinancement sur 3 mois au taux fixe de 1% et à volume illimité, dont le résultat sera connu mercredi.

Mardi, elle a déjà alloué environ 30,7 milliards d'euros à 90 banques dans une opération sur 28 jours, et environ 73,6 milliards d'euros aux banques de la zone euro à l'occasion de son opération principale de refinancement, qui a lieu chaque semaine.

Un total de 320 banques avaient participé à cet appel d'offres au taux fixe de 1% et à volume illimité également.

Le "refi" de routine, qui sert initialement à couvrir le besoin de réserve minimum des banques, s'est imposé dans la crise financière comme un instrument pour les pourvoir régulièrement en liquidités afin de tenter de relancer le prêt interbancaire et ainsi la machine du crédit.

Le marché est largement irrigué en liquidités depuis une allocation géante de 442 milliards d'euros fin juin lors d'une opération de la BCE sur 12 mois, inédite en son genre.

bce:73,6 mds euros lors de son refinancement de routine

La Banque centrale européenne (BCE) a alloué mardi environ 73,6 milliards d'euros aux banques de la zone euro à l'occasion de son opération de refinancement principale, qui a lieu chaque semaine, selon un communiqué destiné aux marchés.

Le volume prêté est supérieur aux besoins des instituts de crédit pour remplir leurs réserves minimum obligatoires auprès de la banque centrale. Celle-ci a évalué ces besoins à un montant négatif de -32 milliards, ce qui signifie une surabondance de liquidités dans le circuit bancaire.

Prévoyant un "large déséquilibre excédentaire" des liquidités mardi, la BCE avait aussi indiqué plus tôt dans un autre communiqué qu'elle va lancer à 13H00 GMT une opération d'absorption de liquidités, dite de "réglage fin", à taux variable mais de 1% maximum, et à volume illimité.

Un total de 320 banques ont participé à l'appel d'offres pour l'opération de refinancement hebdomadaire, qui s'est déroulée au taux fixe de 1% et à volume illimité également.

Le "refi" de routine, qui sert initialement à couvrir le besoin de réserve minimum des banques, s'est imposé dans la crise financière comme un instrument pour les pourvoir régulièrement en liquidités afin de tenter de relancer le prêt interbancaire et ainsi la machine du crédit.

Le marché est largement irrigué en liquidités depuis une allocation géante de 442 milliards d'euros fin juin lors d'une opération de la BCE sur 12 mois, inédite en son genre.

Par ailleurs, la BCE a également alloué mardi environ 30,7 milliards d'euros à 90 banques dans une opération à long terme sur 28 jours.

La Banque de France: troisième trimestre

Niveau bas. Selon les chefs d'entreprise interrogés le mois dernier par la Banque de France, l'activité industrielle et des services s'est stabilisée en juillet, après un recul en juin, indique l'enquête mensuelle de conjoncture de la banque centrale publiée hier. Dans l'industrie, l'activité a été tirée vers le haut grâce à la hausse de la production des biens de consommation et de l'automobile. Si les carnets de commandes ont tout de même augmenté en juin grâce à un raffermissement de la demande intérieure, leur niveau reste bas, indique la Banque de France. Parallèlement, l'utilisation des capacités de production reste faible. L'indicateur du climat des affaires dans l'industrie, en hausse depuis janvier, s'est à nouveau amélioré, passant à 87 en juillet, contre 84 en juin. Du côté des services, cet indice, plus à la peine, s'est apprécié à 81 en juillet, contre 78 en juin. Cette dernière activité, en recul depuis plusieurs mois, s'est stabilisée en juillet. Une évolution qui s'explique par une hausse de la demande et la poursuite de la baisse des prix. Selon une première estimation de l'indicateur synthétique mensuel d'activité, le produit intérieur brut (PIB) devrait rester stable au troisième trimestre par rapport au deuxième trimestre.

Wall Street :la réunion de la Fed

NEW YORK — La Bourse de New York creusait ses pertes mardi à la mi-séance, les investisseurs prenant des bénéfices, notamment sur les valeurs financières, en attendant la réunion de la banque centrale américaine: le Dow Jones perdait 1,08% et le Nasdaq 1,31%.

Vers 16H00 GMT, le Dow Jones Industrial Average cédait 100,96 points à 9.236,99 points, et le Nasdaq, à dominante technologique, 26,14 points à 1.966,10 points.

L'indice Standard & Poor's 500, à la composition plus large, lâchait 1,29% (13,04 points) à 994,06 points.

Lundi, la place new-yorkaise avait fini en légère baisse, pénalisée par des prises de bénéfices après quatre semaines de progression: le Dow Jones avait perdu 0,34%, le Nasdaq 0,40% et le S&P 500 0,33%.

"Le marché était beaucoup monté sur les dernières semaines, et on a donc des prises de bénéfices dans le calme, faute de catalyseur important", a observé Art Hogan, de la banque Jefferies, soulignant que les volumes d'échanges restaient "anémiques".

Les indices de Wall Street ont bondi d'environ 15% sur les quatre dernières semaines, progression qui a porté le Dow Jones à son plus haut niveau depuis début novembre.

"Le marché attend de voir ce que va faire la Fed (Réserve fédérale américaine, ndlr) demain", a-t-il ajouté.

La banque centrale entame mardi une réunion de deux jours. Elle devrait laisser son taux directeur proche de zéro, mais les investisseurs s'interrogent sur le ton qu'elle adoptera dans son communiqué.

En attendant, le marché, qui a atteint à la fin de semaine dernière des niveaux plus vus depuis début novembre, s'accorde une pause, manquant de carburant pour aller plus loin.

Côté indicateurs, la productivité des entreprises américaines a connu au deuxième trimestre ses plus forts gains depuis le troisième trimestre 2003 (+6,4% en rythme annuel par rapport au trimestre précédent).

Mais cette statistique n'a pas suffi à faire monter les indices boursiers. Elle a progressé "parce que les heures travaillées ont été réduites encore plus fortement que la production, ce qui montre que les sociétés s'efforcent de faire plus avec moins", a jugé Patrick O'Hare, du site financier Briefing.com.

Les valeurs de l'énergie de l'industrie, sensibles à la conjoncture et recherchées ces dernières semaines, se repliaient, comme le fabricant d'engins de chantiers Caterpillar (-2,67%) ou le pétrolier Chevron (-1,33%). Même tendance pour les technologiques: le fabricant d'ordinateur IBM perdait 1,04% et le géant des logiciels Microsoft 0,94%.

La tendance frappait surtout le secteur financier, l'indice S&P des valeurs bancaires cédant 5,11%.

Le groupe de services financiers CIT, qui fait face à de lourdes difficultés financières, voyait son titre plonger de 20,28% à 1,18 dollar. Le spécialiste du financement des PME a reporté d'une semaine la transmission de ses résultats trimestriels au régulateur boursier (SEC).

Citigroup chutait de 7,11% à 3,66 dollars. Sept municipalités norvégiennes, quasi ruinées par l'effondrement des "subprimes", ont intenté un procès au groupe bancaire américain qui, selon elles, les a désinformées en leur vendant des produits à risques.

Bank of America lâchait 4,14% à 15,99 dollars. Un juge fédéral a reporté sa décision sur l'accord passé entre la SEC et la banque pour régler les poursuites engagées après "l'affaire des bonus" versés par Merrill Lynch.

L'opérateur Sprint Nextel chutait de 2,96% à 3,60 dollars après un abaissement de recommandation des analystes de Piper Jaffray. Le réhausseur de crédit MBIA, qui a subi le même traitement de la part des analystes de JPMorgan, plongeait de 17,02% à 5,12 dollars.

Le marché obligataire montait. Le rendement du bon du Trésor à 10 ans reculait à 3,705% contre 3,771% lundi soir, et celui du bon à 30 ans à 4,462% contre 4,526% la veille.

la réunion du marché

Hier les indices ont légèrement reculé en raison de prises de bénéfice sur les marchés. Ce fut le cas du CAC40 qui a reculé de 0.47% mais qui a tout de même fini à un niveau toujours haut puisqu'à la clôture il cotait 3504.54 points. Aux Etats-Unis, les indices phares sont également en léger repli avec un Dow Jones qui perd 0.34% à 9337.95 points tandis que le Nasdaq cède 0.40% et repasse sous les 2000 points. Mais mardi, le Nikkei, premier indice à coter, a signé une progression de 0.54% et s'établit à 10581 points, un plus haut depuis 10 mois. Aujourd'hui, les places boursières seront particulièrement attentives au déroulement de la réunion de la Fed qui se retrouve pour discuter des mesures d'aides à l'économie. Les marchés devraient en effet réagir à l'appréciation de la conjoncture actuelle faite par la Banque Centrale.

La balance commerciale chinoise, toujours en hausse, et le rapport de la Banque du Japon cette nuit ont eu pour conséquence un renforcement du yen sur le marché des devises. Celui-ci grimpe face à l'euro puisque l'EUR/JPY cède près de 100 pips (à 137) depuis la réouverture du forex (dimanche). La monnaie nippone gagne du terrain face au dollar également puisque l'USD/JPY marque un recul similaire. L'euro est relativement stable face au dollar, à 1.4140, alors que la livre est passée désormais sous les 1.65 à 1.6485.

tokyo forex

Tokyo (awp/afp) - L'euro restait stable mardi matin sur les marchés de changes asiatiques alors qu'une série d'indicateurs venant de Chine et du Japon ont renforcé le yen et fait baisser le dollar, ont indiqué des opérateurs.

Vers 06H00 GMT (08H00 HEC) la devise européenne s'inscrivait à 1,4136 dollar contre 1,4135 lundi à New York soit un niveau quasi stable mais fléchissait face au yen à 136,85 yens contre 137,39 yens.

Le dollar fléchissait face à la monnaie japonaise à 96,81 yens contre 97,17 yens à New York lundi soir.

Une série d'indicateurs économiques en provenance de Chine a soutenu le yen considéré comme valeur refuge et a tiré vers le bas les devises considérées comme risquées, ont indiqué les opérateurs.

Les statistiques "ont été un déclic pour ces achats de yens alors que les déceptions sur la vigueur de la reprise économique chinoise risquent de se refléter sur l'ensemble de l'économie mondiale", a expliqué Yuzo Sakai, un analyste de Tokyo Forex & Ueda Harlow, cité par Dow Jones Newswires.

La production industrielle en Chine a progressé de 10,8% en juillet sur un an, a annoncé mardi le Bureau national des statistiques, alors que le marché s'attendait à une hausse plus significative.

Quant à l'indice des prix à la consommation en Chine il a connu en juillet une nouvelle baisse, pour le sixième mois consécutif et les investissements ont enregistré un léger ralentissement.

Le marché n'a pas réagi après l'annonce par la Banque du Japon de laisser son taux directeur inchangé à 0,1%.

"La situation économique du Japon a cessé de s'aggraver", a indiqué la Banque du Japon qui reste toutefois très prudente en raison des grandes doutes qui subsistent sur l'économie mondiale.

Les opérateurs ont également les yeux tournés vers la Réserve fédérale américaine dont le comité de politique monétaire doit se réunir mardi et mercredi. Les investisseurs attendent notamment des éclaircissements sur une possible sortie de la stratégie d'assouplissement monétaire, qui pèse sur le dollar.

Vers 06H00 GMT, la livre sterling était quasi stable face à la monnaie européenne à 85,80 pence pour un euro mais progressait légèrement face au billet vert à 1,6475 dollar pour une livre.

La monnaie helvétique était stable face à l'euro à 1,5345 franc suisse pour un euro, et reculait très légèrement face au dollar à 1,0855 franc suisse pour un dollar.

Cours de mardi Cours de lundi

06H00 GMT 21H00 GMT

EUR/USD 1,4136 1,4135

EUR/JPY 136,85 137,39

EUR/CHF 1,5345 1,5345

EUR/GBP 0,8580 0,8582

USD/JPY 96,81 97,17

USD/CHF 1,0855 1,0851

GBP/USD 1,6475 1,6467