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jeudi 30 juillet 2009

Le racket va s’amplifier

Depuis longtemps les pseudos écolos au service des faiseurs de fric faisait débat, il fallait sauver la planète ; le compte à rebours a commencé et la pantomime des sauveurs de couche d’ozone et autre banquise tombe le masque : tout le monde va passer a la caisse, la banquise et les glaciers ne fondront pas moins vite, mais il reste un lot de consolation, c’est un ancien pontife de la gauche caviar qui vient nous l’annoncer la larme a l’œil ! Nos politiques de droite comme de gauche, resteront les sherpas d’un seul et même système qui ne dira jamais son NOM………

Prétendument au service des citoyens, nos élus semblent servir d’étranges intérêts, car de quelque bord qu’ils soient, c’est à l’unanimité qu’ils collectent notre argent pour renflouer leurs amis banquiers. C’est la main sur le cœur que l’on doit croire Mr Bernanke quand il nous dit qu’il a renfloué les banksters en se pinçant le nez et avec dégouts. L’inénarrable Mr Lagarde se devait de nous servir le même laïus « toutes hontes bues » après nous avoir expliqué en pleine crise que les milliards servis aux banquiers, rapporteraient de l’argent à l’état, elle prépare comme Mr Bernanke les esprits aux futures déconvenues du système bancaires(2)! Tous ces gougnafiers feraient bien de se rappeler que tous partis confondus ils ont signé un blanc seing aux banquiers par l’article 104 du traité de Maastricht(1), et récidivé en faisant passer de force le traité de Lisbonne et son article 123(1a).

C’est donc en bon serviteur de système que Mr Rocard vient nous expliquer comment l’état va nous siphonner l’argent nécessaire à la nationalisation des pertes de nos chers banquiers, oubliant au passage les profits colossaux que ces derniers font grâce aux privilèges exorbitants octroyés par TOUS LES PARTIS POLITIQUES EUROPEENS aux banquiers privés(3), pire encore, que lui-même dénonçait il y a peu(4). La reprise que tous les hommes d’états ont financé et promis ne sera pas au rendez vous cette année, et il y a fort a parier qu’il y aura des pleurs et des grincements de dents avant l’hiver………..a suivre

Michel Rocard : la taxe carbone "sera lourde"

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Michel Rocard estime que l'inquiétude des Français sur la contribution climat-énergie (CCE) est justifiée car cette taxe carbone sera "lourde".
"S'ils sont inquiets, c'est légitime parce que la taxe sera lourde", déclare l'ancien Premier ministre socialiste dans un entretien publié mercredi dans "La Provence". "Ils le seront jusqu'à ce que les formes de la compensation soient définies".
Le président de la conférence d'experts sur la taxe carbone, qui a remis mardi son rapport au gouvernement, assure qu'une compensation est prévue pour "ceux pour qui c'est énorme". Et de citer "les ruraux ou banlieusards lointains, qui ont des horaires de travail atypiques, (...) ainsi que les revenus modestes et moyens".
Cette compensation se fera "probablement" sous la forme d'un "chèque vert", avance encore Michel Rocard, qui tente de trouver des mots rassurants: "Ce ne sera pas un impôt supplémentaire. Ce sera un prélèvement constant".
Concrètement, la taxe carbone fera grimper le litre d'essence à la pompe de 7 à 8 centimes, "peut-être un peu plus pour le gazole". Et "pour le chauffage au gaz, cela va représenter une augmentation de l'ordre de 10%".
Quant au calendrier de mise en oeuvre, l'ancien Premier ministre indique que le projet de loi d'application "devrait prendre place sous la forme d'une loi rectificative dans le budget 2010". AP


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(1) Article 104 de Maastricht :

Il est interdit à la BCE et aux banques centrales des États membres, ci-après dénommées “banques centrales nationales”, d'accorder des découverts ou tout autre type de crédit aux institutions ou organes de la Communauté, aux administrations centrales, aux autorités régionales ou locales, aux autres autorités publiques, aux autres organismes ou entreprises publics des États membres; l'acquisition directe, auprès d'eux, par la BCE ou les banques centrales nationales, des instruments de leur dette est également interdite.

(1a) Article 123 du traité de Lisbonne :
1. Il est interdit à la Banque centrale européenne et aux banques centrales des États
membres, ci-après dénommées "banques centrales nationales", d'accorder des découverts
ou tout autre type de crédit aux institutions, organes ou organismes de l’Union, aux
administrations centrales, aux autorités régionales ou locales, aux autres autorités
publiques, aux autres organismes ou entreprises publics des États membres ; l'acquisition
directe, auprès d'eux, par la Banque centrale européenne ou les banques centrales
nationales, des instruments de leur dette est également interdite.
2. Le paragraphe 1 ne s'applique pas aux établissements publics de crédit qui, dans le
cadre de la mise à disposition de liquidités par les banques centrales, bénéficient, de la
part des banques centrales nationales et de la Banque centrale européenne, du même
traitement que les établissements privés de crédit.

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